MICK58 a écrit :

Il a déjà connu la PROD2 Horacio de plus ce n'est pas un joueur qui se cache. Le combat il aime ça. Il se donnera surement plus qu'un de nos piliers remplaçant , si tu vois ce que je veux dire TOF18.

Tu parles de MM ? 

un morceau tres difficille ce soir au Pré !!

tout est possible en sport 

allez l'USON ..............................

17/16 USON !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!     Oh que ça fait du bien !!!!!!!!!!!!!!!

Laborieux mais victoire il y'a!

20 à 25' de jeu dans la fin de rencontre qui a montré l'USON avec plus de maitrise et un apport du banc certain. Par contre, surtout en première mi-temps, que de fautes de main, de difficultés sur les rucks, de manque d'impact physique, d'organisation globale balbutiante, de manque de vitesse dans la transformation du jeu. A l'inverse quand elle arrive à mettre la main sur le ballon , créer des temps de jeu, la formation possède cerains joueurs capables de faire (la) des différences. 

+: Genevois, Roelofse, Bradshaw, Fabrègue, Bélie, Bolakoro, Raisuque, Le Gal. 

Néanmoins cette victoire peut-être le début d'une prise de conscience collective et fonder les bases de travail, de jeu pour les prochaines joutes!

On a souffert jusqu'au bout mais que la victoire est belle !!!!

A nous de nous servir de cette victoire contre le leader pour grandir et progresser !

Par contre, vraiment pas de bol pour Seneca, j'espère que ça ne sera pas trop grave...

 Pro D2 – 8e journée
Nevers-Grenoble, 17-16
Inimaginable ! 

SERMOISE-SUR-LOIRE – Vendredi 13 octobre, 20 h 30 – Stade du Pré-Fleuri. Nevers bat Grenoble, 17-16 (8-10). Évolution du score : 3-0 ; 3-3 ; 8-3 ; 8-10 ; 8-13 ; 11-13 ; 14-13 ; 14-16 ; 17-16.
Arbitre : Luc Ramos (Languedoc). Juges de touche 1, Kevin Alcali ; de touche 2, Christophe Gaillardon ; d’en-but 1, Vincent Dathie ; d’en-but 2, Sylvain Bernard. Arbitre 4 : Jimmy Sauvage. Arbitre 5 : Cédric Pasteur.
Temps doux et sec, pelouse en bon état, éclairage parfait. 6.375 spectateurs.
Pour Nevers : 1 essai Bolakoro (31e’) ; 4 pénalités Le Gal (5e’, 52e’, 58e’, 64e’).
Pour Grenoble : 1 essai Berruyer (33e’) ; 1 transformation et 3 pénalités (26e’, 42e’, 61e’) Mélé.

Nevers : 15. Le Gal ; 14. Herry, 13. San Martin (22. Naqiri, 75e’), 12. Bolakoro, 11. Raïsuque ; 10. Bélie, 9. Faleali’i (21. Urruty, 32e’) ; 7. Gibouin (cap.), 8. Fraser (20. Fabrègue, 66e’), 6. Bastide (19. Quercy, 58e’) ; 5. Toleafoa (18. Basson, 55e’), 4. Bradshaw ; 3. Roelofse (23. Merabet, 26e’-32e’, 61e’), 2. Genevois (16. Visagie, 68e’), 1. Curie (17. Sénéca, 58e’). Manager Xavier Péméja ; entraîneur des avants Sébastien Fouassier, entraîneur des arrières Guillaume Jan.

Grenoble : 15. Cordin ; 14. Visinia, 13. Dussartre, 12. Taufa (21. Hunt, 62e’), 11. Dupont ; 10. Gelin (20. Saseras, 58e’), 9. Mélé ; 7. Hayes (19. Berruyer, 26e’), 8. Setephano (cap.), 6. Godener (18. Geraci, 65e’) ; 5. Muldowney, 4. N’Kinsi ; 3. Oz (17. Taumalolo, 55e’), 2. Fourcade (16. Auzqui, 58e’), 1. Gigashvili (23. Edwards, 65e’). Non-entré en jeu : 22. Guillemin. Directeur du rugby Franck Corrihons ; entraîneur des avants Dewald Senekal ; entraîneur des arrières Stéphane Glas.

Qui aurait pu penser qu’un jour, Nevers battrait Grenoble ? C’est pourtant cette inimaginable issue qui a sanctionné un match d’une formidable intensité, sublimé par un Pré-Fleuri à la hauteur de l’événement. Et pour contrebalancer le coup de massue donné, après la sirène, par les Biterrois, une semaine plus tôt sur cette même pelouse, le sort épargna les Usonistes lorsque David Mélé claqua juste à côté des perches, au cours du temps additionnel, un drop synonyme de nouvelle déconvenue pour les Jaunets. La victoire n’en fut que plus belle !
Ambiance
Nos speakers Jean-François Raffalli et Patrick Jullion avaient concocté un avant-match du tonnerre et le public du Pré-Fleuri répondit aux attentes du club azur et or. L’ambiance ne faiblit pas et probablement que le succès des Neversois au bout de la nuit a germé dans le formidable soutien de leurs supporters. Galvanisés et prêts à relever le défi de Grenoblois quasi-invincibles, Gautier Giboin, capitaine d’un soir, et ses potes sont entrés bille en tête dans leur match.
Avec un poil de réussite, Loïc Le Gal déflora le planchot, concrétisant la bonne entame des siens. Grenoble dût attendre la 25e minute pour logiquement égaliser grâce à David Mélé. Mais ce furent les Nivernais qui inscrivirent le premier essai. Sur une combinaison surprenante, en fond de touche, Auvasa Faleali’i fut lancé dans le trou. En se blessant sérieusement à la cuisse gauche, le demi de mêlée azur et or alerta Ilikena Bolakoro, lancé comme un frelon. Le centre fidjien sprinta jusqu’à l’en-but sans être rattrapé.
Le pied solide
La joie locale retomba dans la foulée, le Grenoblois Antonin Berruyer récompensant, en terre promise, un bel effort de sa mêlée. Avec la transformation… de Mélé, les Isérois reprirent les devants, puis creusèrent un peu l’écart après les citrons (8-13, 42e’).
L’intensité monta encore d’un cran, les deux équipes s’affrontant dans une volonté commune de faire plier l’autre et à ce jeu-là, Nevers reprit espoir. En deux tentatives précises, Le Gal mit les siens devant pour une petite unité (14-13, 58e’).
Une nouvelle pénalité de Mélé en suivant et l’arrière de Nevers remit le facteur sur le vélo (17-16, 64e’). Personne ne se doutait que ce score affiché n’allait plus changer. Car les trente acteurs sur le terrain firent tout pour augmenter leur capital et Nevers faillit tout perdre au chant de la sirène.
Grenoble démonta la mêlée locale, obtint une pénalité et fila en pénaltouche. Le cuir, proprement capté, devint la balle de match puisque la fin de celui-ci retentit. Avec acharnement et abnégation, les Jaunets résistèrent encore une fois aux vagues dauphinoises alors le FCG prépara le terrain pour mettre Mélé dans un fauteuil d’où il tapa le drop… qui passa à côté des perches !
Les Neversois ne méritaient peut-être pas de souffrir une nouvelle fois après tant d’efforts. Alors ils l’emportèrent, acclamés par un public épatant.
Ovalien Dupré

Du grand horacio hier ! Quel retour !