Scm a écrit :

Frésinat a écrit :

Cette victoire va permettre de passer de bonnes fêtes. Le mois de Janvier sera capital...pour la suite de la saison. Avec la réception du Pontet, le déplacement à Lunel et Bédarrides à la maison... Ces trois victoires assureraient quasi le maintien et l'on pourrait espèrer peut être mieux...non ?:p Bonnes fêtes à tous !!!!

Je ne reprends pas le post du dessus pour éviter les longueurs. Mais dis-moi Frésinat, pourquoi se priverait-on de l'un des meilleurs Présidents de ces 25 dernières années ? Et de ton côté, toi qui est si bien renseigné et qui comme moi ne prendras pas la Présidence, tu verrais qui pour succéder à P. Ruiz ?

Je sais que s'est un très bon président et que j'aimerais qu'il reste encore en place mais je sais aussi qu'il fatigue. Etre président c'est très dur. Et pourquoi pas un président venu....du quatar?? LOL.....

chaud frésinat tu dois pas beaucoup travailler pour etre à 9 h du matin sur rugby fédéral.

Frésinat a écrit :

Scm a écrit :

Frésinat a écrit :

Cette victoire va permettre de passer de bonnes fêtes. Le mois de Janvier sera capital...pour la suite de la saison. Avec la réception du Pontet, le déplacement à Lunel et Bédarrides à la maison... Ces trois victoires assureraient quasi le maintien et l'on pourrait espèrer peut être mieux...non ?:p Bonnes fêtes à tous !!!!

Je ne reprends pas le post du dessus pour éviter les longueurs. Mais dis-moi Frésinat, pourquoi se priverait-on de l'un des meilleurs Présidents de ces 25 dernières années ? Et de ton côté, toi qui est si bien renseigné et qui comme moi ne prendras pas la Présidence, tu verrais qui pour succéder à P. Ruiz ?

je ne suis pas mieux renseigné qu'un autre, mon ami Scm....

Il me semblait pourtant que tu connaissais bien le fils du président .... Non ? Je dois me tromper. Remarques, même dans ce cas, c'est pas pour ça qu'on peut être renseigné. Bien ou mal. Je te sais de toute façon fidèle au Sporting. Trés fidèle. Comme moi d'ailleurs et beaucoup d'autres. Le premier qu'a une info....

Frésinat a écrit :

Scm, vu que tu sais qui je suis, salopard...donne moi des indices sur toi. Em mp si tu veux

Ce qui est certain, comme l'avait écrit ici un illuminé qui croyait tout savoir sur moi, je n'ai jamais joué à Aussillon XV. Et je ne suis pas le Père Noël. En tous cas pas pour certains...

Frésinat a écrit :

Scm, vu que tu sais qui je suis, salopard...donne moi des indices sur toi. Em mp si tu veux

ALORS ????

Tiens pour toi qui est loin Frésinat et tous les autres via la Dépêche : Mazamet. Christophe Albert : le colosse de la Montagne Noire Le portrait Christophe Albert ne rechigne jamais à aller au combat. /Photo DDM Dans les travées du stade de La Chevalière de Mazamet, tout le monde sait que Jean-Bernard Bergès, 47 ans, a été champion de France avec le Castres Olympique en 1993. Beaucoup moins nombreux sont ceux qui savent qu'un champion du monde évolue sous les couleurs des « bleu et noir » depuis désormais six saisons. Ce champion de l'ombre, c'est Christophe Albert. Bien qu'Albigeois d'origine, ce troisième ligne centre semble avoir toujours fait partie des meubles mazamétains. Et quand on parle de meuble on ne se trompe pas beaucoup tant l'homme a du coffre et semble descendre en ligne directe d'une armoire à glace. « À onze ans j'avais déjà un gabarit au-dessus des autres » explique-t-il. Ne rechignant jamais à aller au contact, toujours au cœur du combat, même dans un mauvais jour, il arbore régulièrement sur lui les stigmates trahissant sa présence à proximité des points chauds et son implication dans les moments clefs d'une rencontre. « Je suis plutôt un joueur à l'ancienne. Ce qui me plaît, c'est la solidarité, la convivialité et sur le terrain d'être dans un sport collectif fait de contact et de combat où on a besoin d'être tous ensemble pour avancer. » Ancien footballeur Après s'être essayé au football, au poste de stoppeur, Christophe est « débauché » par un petit club de rugby dès l'âge de onze ans. « J'ai commencé à Marssac-sur-Tarn mais comme il n'y avait pas de club de jeunes j'ai joué avec Gaillac. J'y ai passé huit ans. » se souvient-il. Appelé à rejoindre tout ce qui se fait au niveau des sélections de jeunes dans le Tarn, Christophe intègre ensuite la sélection régionale où on lui dit que s'il veut monter plus haut il va lui falloir quitter le centre de la troisième ligne pour évoluer au poste de pilier. Relevant le défi il donne satisfaction et revêt le maillot de l'équipe de France espoir avant de partir au Castres Olympique. Sous les couleurs du club phare tarnais, Christophe évolue chez les Reichel, retrouve la troisième ligne et tape une nouvelle fois dans l'œil des sélectionneurs. Cette fois c'est avec les moins de 19 ans qu'il arbore le coq sur sa poitrine. Champion du monde FIRA en 2000 aux côtés de Jeanjean, Laharrague, Peyrelongue, Bias, Courrent… il semble promis à une belle carrière. Son passage chez les espoirs au CO va donner une autre voie à sa vie. « Une fois que j'ai basculé en espoir je suis vraiment passé pilier et c'est là que je me suis un peu dégoûté. Sorti d'un an d'espoir au CO j'ai rebasculé sur Gaillac qui montait en fédérale 1 » explique Christophe qui prendra ensuite la direction de l'Aquitaine. Sa petite amie de l'époque, qui est aujourd'hui son épouse, partant finir ses études sur Bayonne, il va la suivre. À 21 ans, ses études achevées, il évolue deux saisons à Boucau-Tarnos puis une à Saint-Sever en fédérale 1 au poste de numéro 8. Les études de madame terminées, les deux tourtereaux reviennent dans leur Tarn d'origine « C'est là que je suis arrivé à Mazamet grâce à quelques copains que j'avais là. Je suis arrivé en cours de saison quand on était en Fédérale 1 » indique-t-il. Né à Albi, en 1981, où il réside actuellement, Christophe semble cependant s'être attaché à ce coin du sud tarnais pour lequel il n'hésite pas à faire de la route les jours d'entraînement ou de match. « C'est un club avec une équipe de copains. Je m'y sens dans un esprit familial. Je ne me pose pas la question de savoir s'il faut faire le trajet ou pas. Naturellement je suis au club et je me vois bien continuer là. » Autant de sacrifices rendus possibles par son entourage et notamment sa femme Blandine et son petit Anton (2 ans) qu'il tient à remercier pour leur soutien. Christophe ou le colosse au grand cœur. Respect monsieur Albert. Et il y a aussi ça : Sporting-Club mazamétain un héritage respecté Aujourd'hui, dans l'ombre du Castres Olympique (Top 14), du Sporting-Club albigeois (Pro D2), de l'Association sportive vauréenne (fédérale 1) et du Sporting-Club graulhétois (fédérale 2), le Sporting-Club mazamétain n'en reste pas moins l'un des grands noms de l'ovalie française. En d'autres temps, le club a même connu son heure de gloire en atteignant la finale du championnat de France et en remportant le challenge Du Manoir la même année. C'était en 1958. Une date qui résonne régulièrement dans les tribunes du stade de La Chevalière où les anciens évoquent le bon vieux temps tout en se délectant des performances de leurs successeurs évoluant sur un rectangle vert accueillant aujourd'hui des joutes de fédérale 2. Plus d'un siècle de passion Au pied de la Montagne Noire, la passion pour le ballon ovale ne date pas de la dernière pluie, ni même de 1958. Il n'a en effet pas fallu attendre que les Jougla, Lepatey, Roques, Pastres, Fort, Duffaut, Sérin, Arrambide, Duffour, Quaglio, Mias, Masbou, Biènes, Lacoste et autres Mantérola, Laffont, Aimar montent à Paris - pour y soulever le trophée Du-Manoir et apprendre à la France ovale à situer Mazamet sur une carte - pour que le rugby fasse une percée plein champ dans cette contrée sud tarnaise. « Dans un contexte économique favorable, grâce au textile et au délainage ainsi qu'à de nombreux échanges avec le monde anglo-saxon, quelques sportifs mazamétains, fils d'industriels pour la plupart, sont séduits par un nouveau sport pratiqué par leurs amis d'outre-manche. C'est ainsi que le rugby fait son apparition au pied de la Montagne Noire. Nous sommes en 1898 », apprend-on sur un site internet bien connu. Dès 1905, Albert Vidal va donner toute sa dimension à ce sport en étant à l'origine d'une association qui allait faire briller les couleurs « bleue et noire » : le Sporting-Club mazamétain était né. Cent ans après le titre de champion des Pyrénées de troisième série acquis en 1911, par ceux que l'on surnomme aujourd'hui les « lainiers », la passion est toujours intacte. En un siècle, le Sporting a connu des hauts et des bas mais une chose est sûre, du côté de La Chevalière l'amour du maillot est une valeur stable qui ne connaît pas les affres de la crise. Bonne lecture.