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Fédérale 1

LE C A PERIGUEUX EN FEDERALE 1

#5573

Ca commence a me gonfler cette histoire c'est pour ça que je reviens.Maintenant ça y est on sait ou on va alors on a plus rien a perdre.Pour commencer il faut virer ces dirigeants et dirigeantes ,ces présidents et co president si on veut repartir net.Nous avons eu a faire à des tricheurs ,menteurs, qui n'on que regardé leur sales interets.Ils faut qu'ils sachent que l'on ne veut plus d'eux, qu'ils partent avec en tete l'ane estesiste qui n'a jamais rien compris au rugby ,et à la gestion d'un club. Pourquoi ne pas manifester devant le siege, puis qu'ils ne veulent pas faire une assemblée generale extraordinaire.On ne peux pas les laisser faire pour qu'ils reprennent du service. Je suis surt en 2 ans nous remonterons en F1 mais pas avec la meme equipe dirigeante.Il ne faut pas compter sur ces dirigeants pour remonter mais sur les supportaires ,et un ou 2 president qui ont déja mouillé ou chaussé, les crampons sur le pré. Non le C A P n'est pas mort surtout si nous poussons ces fossoyeurs dehors

#5574

Le cri du coeur que je partage Les briseurs de rêve Du balai ....

#5575

Je crois qu'on est tous du même avis.

#5576

Le plus frustrant en fait c'est de penser qu'on aurait pu vivre autre chose avec des choix judicieux et un peu de patience Qui pour prendre la tête de ce club ?

#5577

CROCAP a écrit :

Le plus frustrant en fait c'est de penser qu'on aurait pu vivre autre chose avec des choix judicieux et un peu de patience Qui pour prendre la tête de ce club ?

Excellente question... Pour l'instant, comme à la dernière AG, aucun prétendant ne se fait connaître!!!

#5578

Regardons un peu ailleurs pour voir comment cela se passe: au BO ardoise effacée par associés et partenaires.....plus de 2 millions d'euros!! A l'aviron Bayonnais la muninicipalité refile 700 000 euros....;

#5579

Le ciel s'éclaircit un peu du côté sportif: les actifs resteraient, quant aux pros, du moins certains attendent ou hésitent. Le groupe entraîneurs presque connu. Patience.....

#5580

CROCAP a écrit :

Oui Santi tout le monde espère que ça ira de mieux en mieux mais que de perte de temps par empressement, par manque de lucidité. ... Aujourd'hui c'est du dépit et de l'écoeurement

Le temps des larmes doit être évaqué...........A quoi fait-il avancé le club???????????????????????? Apportons plutôt notre goutte d'eau!!!

#5581

Lodur a écrit :

Regardons un peu ailleurs pour voir comment cela se passe: au BO ardoise effacée par associés et partenaires.....plus de 2 millions d'euros!! A l'aviron Bayonnais la muninicipalité refile 700 000 euros....;

pr le BO je crois que tu t'avances un peu ...........je n'ai rien lu de tel sur la résolution du déficit ...........dont on ne connaît pas exactement l'ampleur ............. il a été écrit , il y a environ 2 à 3 semaines lorsque le sujet fusion est apparu , que cette fois S KAMPF mettait une condition pr qu'il sorte encore une fois son chéquier ..............que la fusion se fasse !!!

Laurent TRAVERS: '' Certains ont plus ouvert la porte du frigo que  celle de la salle de muscu'......... ''

#5582

Ci-dessous, des précisions apportées par Rugby71 sur le post de Montluçon concernant le CNOSF... en ce qui concerne l'appel qui devait être fait par les dirigeants du CAP, y'a t'il des infos? Merci à Lodur pour ces infos sportives, même si c'est du conditionnel (!) et MERCI aux joueurs, actifs ou pros, qui ont le coeur de ne pas abandonner le navire comme des rats... Voici la totalité de la procédure de conciliation du CNOSFet son fonctionnement : La conciliation L’article L.141-4 du Code du sport (codification à droit constant de l’article 19-IV de la loi n°84-610 du 16 juillet 1984 relative à l'organisation et la promotion des activités physiques et sportives, dite "Loi sur le Sport") confie au Comité national olympique et sportif français (CNOSF) une mission de conciliation dans les conflits nés à l'occasion d'une activité sportive, opposant les licenciés, les agents sportifs, les associations et sociétés sportives et les fédérations agréées. Depuis les lois n° 92-652 du 13 juillet 1992 et n° 2000-627 du 6 juillet 2000, ce dispositif constitue un préalable obligatoire à toute saisine juridictionnelle dès lors que le conflit résulte d’une décision prise par une fédération - ou l’un de ses organes déconcentrés - dans l’exercice de prérogatives de puissance publique ou en application de ses statuts (article R.141-5 du Code du sport). Les articles R.141-6 et suivants du Code du sport (codification à droit constant du décret n°2002-1114 du 30 août 2002) précisent l’organisation et le fonctionnement de la conciliation. Ils distinguent notamment les deux procédures qui peuvent être mises en œuvre par le président de la conférence des conciliateurs selon la qualité des demandeurs ou la nature de la mesure contestée : la conciliation obligatoire et la conciliation facultative. L’enjeu Cette procédure présente un intérêt majeur pour le mouvement sportif, appelé à tenter de régler lui-même et à l’amiable les conflits générés par ses propres actes ou réglementations, avant qu’ils ne soient soumis aux tribunaux de droit commun, parfois peu au fait des spécificités du secteur. A cet égard, la procédure de conciliation permet une résolution rapide des litiges sportifs puisque, d’une part, la conférence des conciliateurs doit, autant que faire se peut, notifier une proposition de conciliation au plus tard dans le mois suivant la date de sa saisine et, d’autre part, les demandes formulées en urgence peuvent être traitées, à l’image de la procédure de référé devant le juge de droit commun, en seulement quelques jours (parfois 2 ou 3 jours). Modalités pratiques La conciliation est une procédure par laquelle deux parties en désaccord tentent, à l’occasion d’une audience de conciliation, de rapprocher leurs points de vue, en faisant des concessions réciproques, grâce à l'intervention d'un tiers, en l'occurrence l’un des conciliateurs du CNOSF (consulter la liste des conciliateurs). Les audiences de conciliation, qui ne sont pas publiques, se déroulent au siège du CNOSF à Paris. A l’issue des débats qui se tiennent devant le conciliateur, les parties à un litige peuvent être amenées à trouver entre elles, dès le jour de l’audience, un accord mettant un terme définitif à leur différend : elles le formalisent alors, sous l’égide du conciliateur, au moyen d’un procès verbal d’accord à l’audience. Dans l’hypothèse où elles n’arriveraient pas à un accord définitif, le conciliateur désigné est tenu, aux termes du dernier alinéa de l’article R.141-22, de notifier aux parties des mesures de conciliation, au moyen d’une proposition de conciliation motivée en droit et en équité (l’équité de même que l’éthique sportives prennent une part importante dans l’appréciation d’un litige par un conciliateur). Cette proposition de conciliation est présumée acceptée par les parties dès sa notification et d’application immédiate. Cependant, celles-ci ont la possibilité de s’y opposer dans le délai d’un mois à compter de sa notification par le conciliateur. Si à l’issue de ce délai d’un mois, aucune des parties ne s’est opposée à la proposition de conciliation, celle-ci est considérée comme définitivement acceptée. La conférence des conciliateurs La conférence des conciliateurs doit être composée de 13 membres au moins et 21 membres au plus. Elle comprend actuellement 19 conciliateurs. Des bénévoles reconnus pour leurs compétences juridiques et sportives Les conciliateurs sont des personnalités reconnues à la fois pour leur compétence en matière juridique et leur connaissance du mouvement sportif, qui se chargent, à titre bénévole, de la mission de conciliation incombant au CNOSF. Impartialité et secret professionnel Ils sont nommés pour quatre ans (durée d’une olympiade) par le conseil d’administration du CNOSF sur proposition de son comité de déontologie. Le président du CNOSF est le garant de l’indépendance de cette conférence. Tout conciliateur est tenu à une obligation d'impartialité et doit garder le secret sur les affaires dont il a connaissance. Il ne peut donc, au même titre que les assistants de conciliation, rendre public les débats ayant eu lieu lors de l’audience de conciliation, ni même communiquer à des personnes autres que les parties au litige dont il a été en charge le contenu des mesures de conciliation qu’il leur a proposées. Un travail en conférence Les conciliateurs constituent entre eux une conférence qui désigne en son sein un président chargé de coordonner leurs travaux, de veiller à la répartition des dossiers à traiter et d'établir un rapport annuel d'activité porté à la connaissance de l'assemblée générale. L'actuel président de la conférence des conciliateurs est Bernard FOUCHER. Liste des conciliateurs Eric BOURNAZEL, professeur des facultés de droit, ParisPierre COLLOMB, professeur des facultés de droit, Nice Laurent DAVENAS, avocat général honoraire à la Cour de cassationLouis DI GUARDIA, premier avocat général honoraire à la Cour de cassationBernard FOUCHER, président de la conférence des conciliateurs, Conseiller d’Etat honoraireJean-Claude FREAUD, avocat à la cour, ParisClotilde GALY, vice-procureure au tribunal de grande instance de NiceAlain LACABARATS, président de chambre de la Cour de cassationFrédéric LENICA, maître des requêtes au conseil d’EtatHélène MARECHAL-HUET, juge placé auprès du président de la cour d’appel de RouenPhilippe MISSIKA, avocat à la cour, ParisJean-Marie RAINAUD, professeur des facultés de droit, NiceDominique REMY, premier conseiller de tribunal administratif de RennesYves SABOURET, inspecteur des finances honoraireRémy SCHWARTZ, conseiller d’EtatBernard VALETTE, premier président honoraire de la cour d’appel de ReimsLaurent VALLEE, directeur des affaires civiles et du Sceau, Ministère de la Justice, ParisDaniel FARGE, conseiller honoraire à la Cour de cassationFranck LATTY, professeur des facultés de droit Domaine de la conciliation obligatoire L’article L.141-4 du Code du sport (codification à droit constant de l’alinéa 1er de l’article 19-IV de la loi du 16 juillet 1984), énonce de manière générale que le domaine de la procédure de conciliation concerne tous les conflits opposant les fédérations agréées aux groupements sportifs qui leur sont affiliés ou à leurs licenciés, à l'exception notable des litiges mettant en cause des faits de dopage. Le champ d’application de cette procédure, en tant que préalable obligatoire avant toute saisine juridictionnelle, est toutefois encadré plus précisément par les articles R.141-5 et suivants du code du sport. Il est notamment prévu que le contentieux doit résulter d'une décision prise soit dans le cadre de l'exercice de prérogatives de puissance publique soit pour l'application des statuts fédéraux et que le demandeur doit avoir un intérêt direct et personnel à agir. La saisine du CNOSF à fin de conciliation peut s'exercer avant même que les voies de recours internes, mises en place au sein de la Fédération concernée, ne soient épuisées. Elle interrompt le délai de recours contentieux, c'est-à-dire le délai dont dispose toute personne pour contester une décision lui faisant grief (ce délai est de 2 mois lorsque la décision présente un caractère administratif ; il passe à 5 ans lorsque l’acte contesté, pris en application des statuts, est de nature privée). Le fait de saisir le CNOSF d’une demande de conciliation visant à contester une décision individuelle n’a pas, à lui seul, pour effet d’entraîner la suspension de l'exécution de cette décision. La décision individuelle litigieuse n’est suspendue qu’à compter de la notification de l’acte procédant à la désignation du conciliateur, qui est le plus souvent matérialisé par l’envoi du courrier de convocation aux parties. La suspension de l’exécution d’une décision prend définitivement fin au jour de la notification de la proposition de conciliation. Le Président de la conférence des conciliateurs ou l'un de ses délégués à cette fin, peut lever l’effet suspensif attaché à la désignation du conciliateur dans le cas où l’organe fédéral qui a rendu la décision litigieuse l’a motivée en référence à des actes de violence caractérisée. Domaine de la conciliation facultative Lorsqu’une demande de conciliation a été formée postérieurement à l’expiration du délai de recours contentieux ou encore qu’elle n’est pas au nombre de celles entrant dans le champ du préalable obligatoire de conciliation (contestation par un organe déconcentré d’une décision fédérale, litige entre deux licenciés, entre un licencié et une association ou entre deux associations, etc.), le président de la Conférence des conciliateurs a la faculté d’inviter l’autre partie à participer à une procédure de conciliation dite facultative. Elle ne peut toutefois être mise en œuvre si la partie sollicitée à cette fin s’y refuse. Contrairement à la procédure obligatoire, elle suppose qu’au préalable les voies de recours internes aient été épuisées. La mise en œuvre d’une telle procédure permet la tenue d’une audience de conciliation mais ne peut donner lieu à la formulation d’une proposition de conciliation. Elle s’achève donc soit par un constat de désaccord, soit par la signature d’un procès-verbal de conciliation. Cette mission dite "de bons offices" complète de manière adéquate le dispositif législatif destiné à solutionner les conflits internes aux instances du sport en France. En savoir plus sur

#5583

Enfin quoi, des clubs à crédit?????????????????Emprunt??????????? Quel taux?,

#5584

qu'y a t il à concilier ds le dossier du CAP ???? faut peut être savoir arrêter les recours qd on a un trou représentant un tiers du budget .........et s'atteler à la reconstruction !

Laurent TRAVERS: '' Certains ont plus ouvert la porte du frigo que  celle de la salle de muscu'......... ''

#5585

Bon courage, amis de Périgueux ! Bonjour à mon ami Daurin de chez vous.

Allez les gars, on débute le match à fond ! Et quand on en peut plus..., on accélère !

#5586

PICARD-GIRARD a écrit :

qu'y a t il à concilier ds le dossier du CAP ???? faut peut être savoir arrêter les recours qd on a un trou représentant un tiers du budget .........et s'atteler à la reconstruction !

eh, du calme! c'est juste des précisions sur ce qui était envisagé par le président du club, et je ne connais pas les solutions (miracles?) qu'il va défendre, ni même si l'appel a été fait! c'est pas forcément l'avis des intervenants du forum! De toutes façons et vu l'étendue du problème, tu vois bien qu'ils ne font que ce qu'ils veulent à la tête du CAP : tout et n'importe quoi!

Fédérale 1