papajoxet a écrit :

Xicon64 a écrit :

Claude a écrit :

 

 

Profites-en pleinement

Ici il tombe des allebardes!!!! 

pas ici....meme de belles éklaircies

La Nive déborde un peu par contre pour ce soir au petit bayonne ils ont la trouille !!!ça risque de monter tres haut!!!

Dernière modification par Xicon64 (23/01/2019 12:25:27)

la sup a écrit :

Xicon64 a écrit :

Claude a écrit :

 

Profites-en pleinement

Ici il tombe des allebardes!!!! 

A Livinhac, y tombe de l'Heau...

ça ne reste que de l'H²O

L'heau c'est le nom de code de la boisson locale ?

Quelle phoire.

Patrick MAUCONDUIT a écrit :

cette fois elle est bien là y compris en plaine, les futurs vacanciers des stations vont être servis

A l'allure ou ca va,les vacanciers capablent de se payer des vacances de sports d'hiver,ne vont plus etre emmerdé par les bouchons sur les routes des stations de ski.

La neige c'est magique. Une ambiance ouatée quand elle tombe. Un silence, un ralenti fort bienvenus en ces temps de frénésie tout azimut. Le crissement des pneus, des chaussures. Des sonorités inhabituelles.

Puis la nature ensevelie. Puis le soleil ensuite. J'aurais bien du mal à m'en passer. Il paraît qu'on s'habitue à tout.

Vacanciers peu fortunés venez à La Pesse y'a moyen de s'en sortir pour pas trop cher même si cela ne reste pas à la portée de tous évidemment.

Laissons la parole à Maupassant :

La grande plaine est blanche, immobile et sans voix.
Pas un bruit, pas un son ; toute vie est éteinte.
Mais on entend parfois, comme une morne plainte,
Quelque chien sans abri qui hurle au coin d’un bois.

Plus de chansons dans l’air, sous nos pieds plus de chaumes.
L’hiver s’est abattu sur toute floraison ;
Des arbres dépouillés dressent à l’horizon
Leurs squelettes blanchis ainsi que des fantômes.

La lune est large et pâle et semble se hâter.
On dirait qu’elle a froid dans le grand ciel austère.
De son morne regard elle parcourt la terre,
Et, voyant tout désert, s’empresse à nous quitter.

Et froids tombent sur nous les rayons qu’elle darde,
Fantastiques lueurs qu’elle s’en va semant ;
Et la neige s’éclaire au loin, sinistrement,
Aux étranges reflets de la clarté blafarde.

Oh ! la terrible nuit pour les petits oiseaux !
Un vent glacé frissonne et court par les allées ;
Eux, n’ayant plus l’asile ombragé des berceaux,
Ne peuvent pas dormir sur leurs pattes gelées.

Dans les grands arbres nus que couvre le verglas
Ils sont là, tout tremblants, sans rien qui les protège ;
De leur oeil inquiet ils regardent la neige,
Attendant jusqu’au jour la nuit qui ne vient pas.

Mes élèves sont en train d'apprendre les deux dernières strophes et aiment beaucoup.