la sup a écrit :

Bref, mon pôte était ingénieur du son à la TV et l'autre défunt faisait chier le petit personnel avec délectation et faisait de la lèche avec adoration à tous ceux ki pouvait lui servir... Personne ne l'appréciait et sa mort ne change rien à l'affaire et si"on" est un con, mon pôte c'est mon pôte épicétou... Renseignez vous sur cet individu ki balançait la bouffe 1er prix épi ki faisait des pubs pour Lidl. Moi, j'ai tjrs respecté les gens ki achetaient ce ke leurs moyens leurs permettaient d'acheter !

Lidl et leader-price(Coffe) ne font pas que de la merde,loin de là ..regarde les classements des supermarchés en France niveau fraicheur et qualité,tu vas etre surpris.

la sup a écrit :

Cédelapub, xixon, rien ke de la pub... Tu regarde la commmunication des enseignes, elles sont toutes premières kelke part !

Je te parle pas de pubs je te parle d’enquêtes .... via 60 millions de consos

Claude a écrit :

Quel plaisir ce fut de lire Jim HARRISON

Dalva, roman découvert grâce à Daniel Thiriez qui a donné à son IPA le nom de l'héroïne de Harrison. comme quoi la bière mène à tout, même à la culture Je n'ai pas lu Légendes d'automne

Le Biérofrogue a écrit :

Claude a écrit :

Quel plaisir ce fut de lire Jim HARRISON

Dalva, roman découvert grâce à Daniel Thiriez qui a donné à son IPA le nom de l'héroïne de Harrison. comme quoi la bière mène à tout, même à la culture Je n'ai pas lu Légendes d'automne

Ah la culture. J'ai fait mes premières armes de lecteurs en compagnie du club des cinq, des 6 compagnons (beaucoup) d'Alice et Michel (un peu). Puis ma mère étant une prolétaire lectrice (elle l'est toujours, coucou Monique) j'ai mis la main assez jeune sur Germinal et les misérables. A chaque fois il y eu la rencontre avec des personnages et un univers. Puis ma vie a croisé celle de Christine Artaud prof de français-latin au collège de Kingersheim. 3 ans de suite. Un bonheur. Une de ces personnes marquantes. Rien de flamboyant, nous n'étions pas dans le cercle des poètes disparus. Le goût de l'effort, de choses plus difficiles à appréhender. Elle nous fit lire Steinbeck à travers " Des souris et des hommes". J'en ai gardé le goût de la littérature américaine et plus généralement étrangère. C'est donc Madame Artaud qui m'a conduit à Jim Harrison et à d'autres. J'ai beaucoup lu, je furète dans les bibliothèques et les librairies à la recherche de choses inconnues. Je ne me suis jamais posé la question de la culture. Le plaisir de découvrir, de rencontres. Tout cela m'a aidé à porter un regard toujours optimiste malgré tout pour supporter ce monde insensé et mes propres turpitudes. Peut-être une manière d'échapper à la réalité. La bière c'est finalement la même chose. On voyage, on découvre, on boit et on oublie. Je ne suis donc pas surpris de ta réponse.;) D'ailleurs en ce moment je lis entre autre, des histoires d'amour entre hommes pas toujours "bien " écrites. Encore que la dernière, "protection rapprochée" ne soit pas mal du tout. Mais sans doute assez loin de la culture.

Fouquet's a écrit :

Je pense très honnêtement qu'il aurait aimé etre là,pour lire ceci..... ensuite faut aimer l'humour noir de chez noir...

Claude a écrit :

Le Biérofrogue a écrit :

Claude a écrit :

Quel plaisir ce fut de lire Jim HARRISON

Dalva, roman découvert grâce à Daniel Thiriez qui a donné à son IPA le nom de l'héroïne de Harrison. comme quoi la bière mène à tout, même à la culture Je n'ai pas lu Légendes d'automne

Ah la culture. J'ai fait mes premières armes de lecteurs en compagnie du club des cinq, des 6 compagnons (beaucoup) d'Alice et Michel (un peu). Puis ma mère étant une prolétaire lectrice (elle l'est toujours, coucou Monique) j'ai mis la main assez jeune sur Germinal et les misérables. A chaque fois il y eu la rencontre avec des personnages et un univers. Puis ma vie a croisé celle de Christine Artaud prof de français-latin au collège de Kingersheim. 3 ans de suite. Un bonheur. Une de ces personnes marquantes. Rien de flamboyant, nous n'étions pas dans le cercle des poètes disparus. Le goût de l'effort, de choses plus difficiles à appréhender. Elle nous fit lire Steinbeck à travers " Des souris et des hommes". J'en ai gardé le goût de la littérature américaine et plus généralement étrangère. C'est donc Madame Artaud qui m'a conduit à Jim Harrison et à d'autres. J'ai beaucoup lu, je furète dans les bibliothèques et les librairies à la recherche de choses inconnues. Je ne me suis jamais posé la question de la culture. Le plaisir de découvrir, de rencontres. Tout cela m'a aidé à porter un regard toujours optimiste malgré tout pour supporter ce monde insensé et mes propres turpitudes. Peut-être une manière d'échapper à la réalité. La bière c'est finalement la même chose. On voyage, on découvre, on boit et on oublie. Je ne suis donc pas surpris de ta réponse.;) D'ailleurs en ce moment je lis entre autre, des histoires d'amour entre hommes pas toujours "bien " écrites. Encore que la dernière, "protection rapprochée" ne soit pas mal du tout. Mais sans doute assez loin de la culture.

pour la bière va vraiment falloir que tu viennes faire un tour mon claude (dédicace rené fallet) je(on) te ferais boire des breuvages que tu n'est pas pr^t d'oublier ...

Dernière modification par bruno1 (02/04/2016 21:55:57)