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3° mi-temps

L'estaminet Lillois

#8681

on en parle

allez l'iris
on peut vivre sans rugby...................................mais moins bien

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#8682

pas mal du tout ton ta bande annonce bruno 1

« Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l’une ni l’autre, et finit par perdre les deux. »

Benjamin Franklin.

#8683

allez lille !! de la fierté !

« Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l’une ni l’autre, et finit par perdre les deux. »

Benjamin Franklin.

#8684

allez l'iris
on peut vivre sans rugby...................................mais moins bien

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#8685

20 Minutes a écrit :

Il y a encore dix ans, voir le Nord accueillir les demi-finales du Top 14 aurait été une incongruité.

Ben oui, puisque c'était le top 16 et que les demi-finales ne se jouaient pas au même endroit big_smile

#8686

article dans l'équipe ... payant Les demi-finales du Top 14 au stade Pierre-Mauroy représentent un formidable coup de projecteur pour le rugby nordiste. Lille, candidat à la Pro D 2, aspire à devenir le premier club professionnel au nord de Paris. VOICI TROIS DEMI-FINALES en trois jours qui comptent dans le Nord ! Vous connaissez les deux premières, celles du Top 14, demain et samedi, au stade Pierre-Mauroy, à Villeneuve-d'Ascq. Seuls les aficionados ont entendu parler de la troisième : Lille­-Montauban, match aller des demies de Fédérale 1 (3e Division), dimanche, au Stadium Lille Métropole. Trois kilomètres seulement séparent les deux sites ; un monde en réalité. « J'espère que l'on verra un Lille-Stade Français dans dix ans au Grand Stade, souligne Morgan Turinui, trente-deux ans, centre international australien (20 sélections entre 2003 et 2005), passé du Stade Français au Lille Métropole Rugby (LMR), l'été dernier. On doit pouvoir évoluer comme Lyon l'a fait. Lille est un des seuls endroits en France où le rugby peut grandir. Il ne grandira plus à Dax, à Bourgoin ou à Montauban… » Justement, la double confrontation (18 et 24 mai) avec Montauban, invaincu cette saison, est à la fois décisive pour la montée en Pro D 2 (les Nordistes ont déjà glissé sur la dernière marche en 2012 et 2013) et, selon le président lillois Jean-Claude Branquart, déterminante pour l'avenir du club. « Si on ne passe pas, je crains qu'avec le contexte économique actuel, des partenaires se retirent car ils n'ont pas de retour d'image en Fédérale 1. L'an dernier, j'ai écrit aux soixante entreprises les plus importantes de la région, seules quatre ont daigné répondre, toutes négativement. Cependant, je suis sûr que trouver 4,5 M€ pour la Pro D 2 serait moins difficile que de conserver notre budget de 2 M€ en Fédérale 1. S'il y a des Lille-Biarritz, Lille-Perpignan, l'économie suivra », prédit-il. AVEC CHADEBECH ET VILLEPREUX Patron de presse, Jean-Claude Branquart dirige le réseau Sortir (magazines culturels et de sites Web). Il a commencé à investir dans le rugby il y a une petite décennie quand l'équipe ferraillait en Fédérale 3. Avec pour projet de créer Le premier grand club au nord de Paris, en s'appuyant sur le potentiel humain de la région (4 millions d'habitants) et économique de la métropole lilloise. En signant un partenariat avec le Racing-Métro (prêt de joueurs). En investissant les quartiers pour élargir sa pépinière à un demi-millier de gamins. En se ralliant à des associations de la « deuxième chance ». En passant des conventions avec les universités et les écoles d'ingénieurs au bénéfice de son centre de formation (labellisé FFR). Et en bénéficiant d'un outil, le Stadium, qui avait été modernisé pour héberger le LOSC (de 2004 à 2012) en attendant l'entrée des footballeurs dans le Grand Stade. Or, l'intérêt de son gestionnaire, la communauté urbaine, est d'exploiter pleinement cette enceinte de 18 000 places qui, en taille, aurait sa place sur le podium du Top 14, à égalité avec Michelin à Clermont, et juste derrière Jean-Bouin à Paris et Ernest-Wallon à Toulouse. En moyenne, 3 000 spectateurs assistent aux matches du LMR. Ils étaient plus de 8 000 il y a un an pour une demi-finale contre Bourg-en-Bresse. Ils devraient être 10 000 dimanche pour la réception de Montauban. « Le public s'est bâti en même temps que l'équipe, compare Pierre Chadebech, cinquante-cinq ans, manager depuis 2009. Il y a deux paramètres pour le spectacle : l'intensité et le mouvement. L'intensité est indispensable pour gagner des matches, et le mouvement pour fidéliser le public. Pas besoin d'être connaisseur pour apprécier ça. » Le mouvement a toujours été le credo du « Chat », international durant les années 1980 et icône briviste, conforté dans son discours par celui de Pierre Villepreux, prestigieux vacataire, « qui reproduit chez nous le modèle toulousain », dixit le président, et « travaille à la formation des éducateurs », ajoute le manager. L'attrait des Nordistes pour le rugby, on le verra à la fois au Grand Stade (80 % des spectateurs des deux demi-finales habitent dans la région) et au Stadium (11 des 23 joueurs du LMR sont des ch'tis). Et puis, côté troisième mi-temps, les « carnavaleux » de Dunkerque et des alentours ne sont pas moins fêtards que les coutumiers des Fêtes de Bayonne… LA PHRASE « POUR NOUS, LE NORD, C'EST À PARTIR DE BORDEAUX. MOI, JE N'ÉTAIS JAMAIS ALLÉ AU-DELÀ DE PARIS » LE LANDAIS GUILLAUME AUGUST, trente-quatre ans, deuxième-ligne, ancien joueur de Dax et Tyrosse, à Lille depuis 2012. « Ici, il y a plus de gens qui s'intéressent au rugby qu'on peut le penser. Point de vue rugby, rien ne me manque dans le Nord. » SOUVENIRS DU NORD UN WALLABY PORTEUR D'EAU Lille avait engagé deux pointures, l'été dernier : le flanker néo-zélandais Johnny Leo'o, trente-cinq ans, ancien joueur du Racing-Métro (de 2007 à 2013), et le centre international australien Morgan Turinui (32 ans, 20 sélections) en provenance du Stade Français. Arrivé blessé en début de saison, le Wallaby fut, de sa propre initiative, le porteur d'eau du groupe pendant les matches de préparation jusqu'à son rétablissement, à la grande surprise de ses coéquipiers. LES ADIEUX DE BLANCO C'est au Stadium de Villeneuve-d'Ascq que Serge Blanco a disputé son dernier match, le 31 octobre 1992, avec les Barbarians français, contre les Springboks. Clin d'oeil de l'histoire, il avait porté pour la première fois le maillot de l'équipe de France (en juniors), en 1977, dans ce même lieu. Une manière de boucler la boucle. UN RECORD SOUS LA PLUIE Le public nordiste a toujours répondu présent lors des (rares) matches internationaux qui ont eu lieu au Stadium de Villeneuve-d'Ascq. Le record d'affluence du stade, toutes disciplines confondues, a eu lieu lors d'un match de rugby, avec 34 500 personnes assistant au quarts de finale de la Coupe du monde 1991 entre la Nouvelle-Zélande et le Canada (29-13), malgré une pluie diluvienne. Pour des raisons de sécurité, la capacité du stade a été réduite à 18 000 places.

lillot un jour, lillot toujours

#8687

niquolson a écrit :

article dans l'équipe ... payant Les demi-finales du Top 14 au stade Pierre-Mauroy représentent un formidable coup de projecteur pour le rugby nordiste. Lille, candidat à la Pro D 2, aspire à devenir le premier club professionnel au nord de Paris. VOICI TROIS DEMI-FINALES en trois jours qui comptent dans le Nord ! Vous connaissez les deux premières, celles du Top 14, demain et samedi, au stade Pierre-Mauroy, à Villeneuve-d'Ascq. Seuls les aficionados ont entendu parler de la troisième : Lille­-Montauban, match aller des demies de Fédérale 1 (3e Division), dimanche, au Stadium Lille Métropole. Trois kilomètres seulement séparent les deux sites ; un monde en réalité. « J'espère que l'on verra un Lille-Stade Français dans dix ans au Grand Stade, souligne Morgan Turinui, trente-deux ans, centre international australien (20 sélections entre 2003 et 2005), passé du Stade Français au Lille Métropole Rugby (LMR), l'été dernier. On doit pouvoir évoluer comme Lyon l'a fait. Lille est un des seuls endroits en France où le rugby peut grandir. Il ne grandira plus à Dax, à Bourgoin ou à Montauban… » Justement, la double confrontation (18 et 24 mai) avec Montauban, invaincu cette saison, est à la fois décisive pour la montée en Pro D 2 (les Nordistes ont déjà glissé sur la dernière marche en 2012 et 2013) et, selon le président lillois Jean-Claude Branquart, déterminante pour l'avenir du club. « Si on ne passe pas, je crains qu'avec le contexte économique actuel, des partenaires se retirent car ils n'ont pas de retour d'image en Fédérale 1. L'an dernier, j'ai écrit aux soixante entreprises les plus importantes de la région, seules quatre ont daigné répondre, toutes négativement. Cependant, je suis sûr que trouver 4,5 M€ pour la Pro D 2 serait moins difficile que de conserver notre budget de 2 M€ en Fédérale 1. S'il y a des Lille-Biarritz, Lille-Perpignan, l'économie suivra », prédit-il. AVEC CHADEBECH ET VILLEPREUX Patron de presse, Jean-Claude Branquart dirige le réseau Sortir (magazines culturels et de sites Web). Il a commencé à investir dans le rugby il y a une petite décennie quand l'équipe ferraillait en Fédérale 3. Avec pour projet de créer Le premier grand club au nord de Paris, en s'appuyant sur le potentiel humain de la région (4 millions d'habitants) et économique de la métropole lilloise. En signant un partenariat avec le Racing-Métro (prêt de joueurs). En investissant les quartiers pour élargir sa pépinière à un demi-millier de gamins. En se ralliant à des associations de la « deuxième chance ». En passant des conventions avec les universités et les écoles d'ingénieurs au bénéfice de son centre de formation (labellisé FFR). Et en bénéficiant d'un outil, le Stadium, qui avait été modernisé pour héberger le LOSC (de 2004 à 2012) en attendant l'entrée des footballeurs dans le Grand Stade. Or, l'intérêt de son gestionnaire, la communauté urbaine, est d'exploiter pleinement cette enceinte de 18 000 places qui, en taille, aurait sa place sur le podium du Top 14, à égalité avec Michelin à Clermont, et juste derrière Jean-Bouin à Paris et Ernest-Wallon à Toulouse. En moyenne, 3 000 spectateurs assistent aux matches du LMR. Ils étaient plus de 8 000 il y a un an pour une demi-finale contre Bourg-en-Bresse. Ils devraient être 10 000 dimanche pour la réception de Montauban. « Le public s'est bâti en même temps que l'équipe, compare Pierre Chadebech, cinquante-cinq ans, manager depuis 2009. Il y a deux paramètres pour le spectacle : l'intensité et le mouvement. L'intensité est indispensable pour gagner des matches, et le mouvement pour fidéliser le public. Pas besoin d'être connaisseur pour apprécier ça. » Le mouvement a toujours été le credo du « Chat », international durant les années 1980 et icône briviste, conforté dans son discours par celui de Pierre Villepreux, prestigieux vacataire, « qui reproduit chez nous le modèle toulousain », dixit le président, et « travaille à la formation des éducateurs », ajoute le manager. L'attrait des Nordistes pour le rugby, on le verra à la fois au Grand Stade (80 % des spectateurs des deux demi-finales habitent dans la région) et au Stadium (11 des 23 joueurs du LMR sont des ch'tis). Et puis, côté troisième mi-temps, les « carnavaleux » de Dunkerque et des alentours ne sont pas moins fêtards que les coutumiers des Fêtes de Bayonne… LA PHRASE « POUR NOUS, LE NORD, C'EST À PARTIR DE BORDEAUX. MOI, JE N'ÉTAIS JAMAIS ALLÉ AU-DELÀ DE PARIS » LE LANDAIS GUILLAUME AUGUST, trente-quatre ans, deuxième-ligne, ancien joueur de Dax et Tyrosse, à Lille depuis 2012. « Ici, il y a plus de gens qui s'intéressent au rugby qu'on peut le penser. Point de vue rugby, rien ne me manque dans le Nord. » SOUVENIRS DU NORD UN WALLABY PORTEUR D'EAU Lille avait engagé deux pointures, l'été dernier : le flanker néo-zélandais Johnny Leo'o, trente-cinq ans, ancien joueur du Racing-Métro (de 2007 à 2013), et le centre international australien Morgan Turinui (32 ans, 20 sélections) en provenance du Stade Français. Arrivé blessé en début de saison, le Wallaby fut, de sa propre initiative, le porteur d'eau du groupe pendant les matches de préparation jusqu'à son rétablissement, à la grande surprise de ses coéquipiers. LES ADIEUX DE BLANCO C'est au Stadium de Villeneuve-d'Ascq que Serge Blanco a disputé son dernier match, le 31 octobre 1992, avec les Barbarians français, contre les Springboks. Clin d'oeil de l'histoire, il avait porté pour la première fois le maillot de l'équipe de France (en juniors), en 1977, dans ce même lieu. Une manière de boucler la boucle. UN RECORD SOUS LA PLUIE Le public nordiste a toujours répondu présent lors des (rares) matches internationaux qui ont eu lieu au Stadium de Villeneuve-d'Ascq. Le record d'affluence du stade, toutes disciplines confondues, a eu lieu lors d'un match de rugby, avec 34 500 personnes assistant au quarts de finale de la Coupe du monde 1991 entre la Nouvelle-Zélande et le Canada (29-13), malgré une pluie diluvienne. Pour des raisons de sécurité, la capacité du stade a été réduite à 18 000 places.

Pour rebondir sur cette article, quel déchaînement de nos amis du Sud sur la programmation des demis à Lille ... Depuis ce matin, le Rugbynistère, l'Equipe publient des articles sur les demis à Lille, il suffit de voir les commentaires : "ils ont déjà le foot", "ça va être un public de col blanc", "ils n'y comprennent rien". Bien sûr, tout le monde ne doit pas être mis dans le même panier, mais je remarque quand même une certaine reticence de certains au développement du rugby. D'ailleurs, certains se croient propriétaires de ce sport ... Surtout que les demis à Lille, il y en aura pas d'autres avant très longtemps. Les réactions me surprennent, dans notre cher sport où l'on prône des valeurs de convivialité et d'ouverture.

#8688

oui c'est ça, ce sont des demies d'ouverture

#8689

antoine354 a écrit :

Surtout que les demis à Lille, il y en aura pas d'autres avant très longtemps.

Jusque là je te suivais Antoine, mais là tu n'es pas crédible... lol

Que l'hilarité dépasse l'affliction...

#8690

allez Massy a écrit :
antoine354 a écrit :

Surtout que les demis à Lille, il y en aura pas d'autres avant très longtemps.

Jusque là je te suivais Antoine, mais là tu n'es pas crédible... lol

Je parle des demis de TOP 14 pas de fédérale 1 ! wink

#8691

Le Biérofrogue a écrit :

oui c'est ça, ce sont des demies d'ouverture

lol lol lol

#8692

antoine354 a écrit :
allez Massy a écrit :
antoine354 a écrit :

Surtout que les demis à Lille, il y en aura pas d'autres avant très longtemps.

Jusque là je te suivais Antoine, mais là tu n'es pas crédible... lol

Je parle des demis de TOP 14 pas de fédérale 1 ! wink

...et moi je ne parle pas de demies-finales, mais de demis qui à Lille ne sont pas prêts de disparaître, ni même remplacés à la finale par des Bocks ! lol

Que l'hilarité dépasse l'affliction...

#8693

les bocks c'est à nevers lol

allez l'iris
on peut vivre sans rugby...................................mais moins bien

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#8694

allez l'iris
on peut vivre sans rugby...................................mais moins bien

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3° mi-temps