Dégoutté du match.... Nous n'avons pas une équipe digne de monter en proD2. Trop de fautes, trop de maladresses. En face une équipe qui avait de l'envie, en tous cas plus que la nôtre. Je n'ai vu jouer l'USON qu'au début de la 2ème mi-temps, pendant une dizaine de minutes. Je pense que notre Président va faire le ménage dans le staff et dans les joueurs. Je suis consterné.

J'lavais pas dit? de bons joueurs ne font pas une bonne équipe, une âme ne se construit pas à coup de CV Combien d'euros M.Dumange compte-t-il encore dépenser l'année prochaine?

d'accord avec toi, c'est bien sur le plan tactique que vous perdez le match. Mauvaise entame, bcp de déchets pendant 25mn, fautes de choix (1 voire 2 pénalités face aux barres jouées vite pour rien, 1 touche pas trouvée qui vous fait même reculer...une somme de petits détails qui compte à la fin) et au final obligé de tout jouer, mais si la défense tient le coup c dur dur...je pense aussi que c'est l'équipe qui la voulait le plus qui est allé chercher la gagne, mais la c vraiment perso. Il est peut être temps de changer d’entraîneur pour remettre tout le monde dans le même sens, bonne chance !

tt à fait , je me souviens de cette pénal touche jouée alors que les 3 pts étaient promis en tentant le but .......je m'étais dit qu'il fallait espérer ne pas avoir à le regretter !! En match éliminatoires ,il faut jouer à la All blacks , prendre ts les points prenables dès lors que ton buteur a la distance ds les jambes .........regarde le ST et Fritz hier qui met 2 coups de canon ! Qd t'as une occase de mettre des points , tu prends ! Au delà , Massy a bcp plus produit que l'USON qui a semblé paralysé par l'enjeu et les saisons passées..........

Aujourd'hui, Bourg gagne parce que les pénalités ont été tentées (et réussies) dont 2 à plus de 55m avec le vent.

Barrage d’accession à la Pro D2 Nevers-Massy, 14-17 Essonne le glas Orléans, dimanche 1er mai (Ovalien Dupré). _ Stade Marcel-Garcin. Massy bat Nevers, 17-14 (14-6). Evolution du score : 3-0 ; 8-0 ; 11-0 ; 11-3 ; 14-3 ; 14-6 ; 14-9 ; 17-14. Arbitre : Tual Trainini (Côte d’Azur). Juges de touche : Julien Castaignède (Côte d’Argent) et Akim Hadj Bachir (Auvergne). Juges d’en-but : Jean-François Favori et Serge Keromnes (Pays de la Loire). 4e arbitre : Cédric Nicaud (Centre). Soleil généreux, temps frais, vent fort et froid, pelouse en bon état, 2.000 spectateurs environ. Pour Nevers : 1 essai Bonvalot (80e’ + 2) ; 3 pénalités Duvallet (30e’, 37e’, 50e’). Carton jaune : Whetton (72e’). Pour Massy : 1 essai Dobson (16e’) ; 4 pénalités Orquera (3e’, 25e’, 33e’, 73e’). Nevers : 15. Autagavaïa – 14. Maya (22. Derrieux, 55e’), 13. Mazet, 12. Drouard (22. Derrieux, 33e’-40e’ ; 21. Vuillemin, 64e’), 11. Bonvalot – 10. Duvallet, 9. Faleali’i – 7. Whetton, 8. Fabrègue, 6. Bastide (19. Salavea, 55e’, 18. Kazubek, 60e’) – 5. Gonzalez, 4. Aurignac (cap.) (18. Kazubek, 48e’-60e’) – 3. Rochet (23. Merabet, 45e’), 2. Maury (16. Lam, 50e’-80e’ + 3), 1. Vaudaine (17. Colati, m.-t.). Non utilisé : 20. Nxumalo. Manager général : Jean Anturville, assisté de Sébastien Fouassier et Guillaume Jan. Massy : 15. Girard (22. Grimoldby, 75e’) – 14. Delage, 13. Sella (20. Ratinaud, 55e’), 12. Leota, 11. Etien – 10. Orquera, 9. Coudol (21. Prier, 57e’) – 7. Ancely, 8. Chaplain, 6. Dessassis (cap.) (19. Gueddouri, 68e’) – 5. Chauveau, 4. Cazac (18. Maréchal, 20e’) – 3. Akhobadze (23. Ashvetia, 75e’), 2. Dobson (16. Denoyelle, 75e’), 1. Dadunashvili (17. El Ansari, 69e’). Manager : Florent Malleville. Entraîneur général, Didier Faugeron, assisté de Victor Didebulidze et Stéphane Gonin. L’Union Sportive Olympique Nivernaise Rugby Plus ne défiera pas le Rugby Club Vannetais en demi-finale d’accession à la Pro D2. Sa bête noire, le Rugby Club Massy Essonne l’en a empêché, en lui brisant son rêve… comme d’habitude. Le président Régis Dumange le répète à l’envi depuis qu’il a mis sur pied son projet, tant que le XV de Nevers n’est pas capable de battre celui de Massy, il n’a pas l’envergure pour évoluer à l’étage supérieur. Vent contre, public avec Alors qu’ils avaient gagné le toss, les Usonistes préférèrent débuter vent de face. Cette option ne se révéla pas payante puisqu’après avoir logiquement subi la domination des Massicois portés par Éole, les Nivernais ne purent renverser la vapeur, en dépit de leurs multiples efforts et des encouragements nourris d’un stade Marcel-Garcin quasiment jaune et bleu. Le début du match fut du pain béni pour les Franciliens qui campèrent dans la partie de terrain neversoise, obtenant rapidement une pénalité convertie sans ciller par Luciano Orquera. Si la mêlée azur et or rassura ses supporters en dominant sa rivale, cela ne suffit pas à placer le reste de la troupe sur de bons rails. Contrés par une excellente défense adverse, les attaquants azur et or furent souvent contraints de dégager au pied, en fin d’action. Pour automatiquement s’exposer aux foudres essonniennes. Une pénaltouche non trouvée, suivie d’une touche directe, fit venir les avants massicois à 5 mètres de l’en-but nivernais. Capté par Andrew Chauveau, le cuir fut mis à l’abri dans la touffeur du maul et le talonneur Matthew Dobson propulsé par son pack derrière la ligne. Orquera manqua la transformation mais le bombardier italien se racheta en réussissant une nouvelle pénalité sanctionnant une faute d’Hugues Bastide dans un ruck. Un gros détail Menés 11-0, les Jaunets se rebellèrent et une attaque initiée par Hugo Fabrègue déboucha sur les trois premiers points de Thibault Duvallet. Du tac au tac, après une offensive des centres Iese Leota et Geoffrey Sella (fils de Philippe, 111 sélections en équipe de France et dans les tribunes avec les fans massicois), Orquera répondit avec aisance. Stéphane Bonvalot sonna, ensuite, la charge, relayé par David Vaudaine et Anthony Rochet. Les Massicois se mirent à la faute et Duvallet profita d’une accalmie pour réduire le score. Malheureusement, l’artilleur azur et or manqua la cible, juste avant la pause, de 30 mètres face. Ce genre de rencontres se joue sur des détails, a-t-on coutume d’entendre, celui-là en constitua un gros ! Efforts pas récompensés Une percée de Sella, un contre de Fabrègue qui ramena le cuir jusque dans l’en-but massicois, où l’arrière Thomas Girard éteignit le feu, la rencontre reprit sur un rythme effréné. Cette fois aidés par le vent, les Bourguignons tentèrent beaucoup sans être réellement récompensés. Juste une pénalité de Duvallet vint convertir dix minutes d’efforts intenses mais trop individuels pour surprendre une formation francilienne superbement organisée. Bastide, œil droit tuméfié, Viliame Maya, sorti sur civière, laissèrent leurs camarades partir encore et encore à l’assaut de la forteresse adverse. Mais les Massycoulis étaient imprenables. Pire, sur un temps fort des banlieusards parisiens, Jack Whetton commit un placage dangereux et écopa d’un carton jaune. A un de moins, les Jaunets parvinrent quand même à transpercer la cuirasse francilienne par l’inévitable Bonvalot. Mais il ne resta qu’une action aux Neversois, menés 17-14, pour passer devant. Hélas ! Comme un symbole, le coup de pied de renvoi chirurgical d’Orquera échappa aux mains niversaises et le cuir fila en touche. Les Massicois et leurs 150 supporters hurlèrent leur joie tandis que les Neversois et leurs 1.500 fans durent se rendre à l’évidence. Le glas avait sonné, une nouvelle fois.