bien évidemment, c'est pour ça que nous avons l'ellite du rugby français dans notre poule...^^

vitalic a écrit :

bobl'eponge a écrit :

le rouquin? naaaaaaaaan, lui il sait pas écrire!:lol::lol:

comment ça va être dit, répeté, déformé, tout ça vivement le début de saison qu'on se met un peu sur la gueule à force de se brancher sur le forum et si j'arrive à rejouer sans avoir besoin d'aller voir un chirugien je me tenterai bien de croquer gizmo bon ok c'est pas le plus costaud mais faut bien reprendre confiance mdr

oh tu sais, j'ai pas attendu pour lui en mettre plein la gueuele à nore rouquin! il aime ça d'ailleurs! qu'est ce que t'as? besoins de te faire opéré?

bonjour bougnat, je suis heureuse de voir que vous allez pouvoir en découdre ;) car il y aura du potentiel . reprenez beaucoup de plaisir ,vous le méritez !! comme tu le sais, nous penserons à vous et nous viendrons vous voir souvent !!!:lol::lol::lol::lol: a+

c sa ce qui monte sont tous les 1er de la 2eme phase en play off

Débuts du Stade Rouennais Né sur les cendres de feu le RC Rouen, le Stade rouennais a effectué sa rentrée mercredi à Mermoz. Porté sur les fonds baptismaux en mai après la disparition du RC Rouen, le Stade rouennais dispose d'un effectif d'une cinquantaine de joueurs dont une bonne moitié à une Bouille de communiants. Après le départ de la totalité des Argentins qui avaient contribué à pérenniser sportivement le RCR en Fédérale 1, le nouveau club s'est construit autour de nombreux jeunes qui seront épaulés par quelques anciens du coin, plus fidèles que jamais, tels qu'Alban Le Pluart, Bastien et Nicolas Sevestre, Grégory Hanocque, Johanny Labitte, François Villain, ainsi, peut-être, que Pierre Meunier qui est également au contact avec le voisin Césaire-Levillain. « Notre groupe est un mélange des générations, souligne Benoit Cadiou, l'un des trois entraîneurs. Nous avons des leaders techniques avec un gros vécu auxquels sont associés des jeunes qui ont les crocs. Si la mayonnaise prend, ça devrait être bien. » Mais en dépit du retour de Grégory Loiseau, parti la saison passée aux Sables-d'Olonne pour des raisons professionnelles, et de l'arrivée de l'arrière dieppois Victor Marie, qui devrait être le buteur de l'équipe au même titre que Clément Desportes, les lignes arrière semblent un peu justes en nombre. Ponte-Gomez s'interroge Mercredi, jeunes, nouveaux et anciens ont effectué leur rentrée sur l'annexe du stade Mermoz, la pelouse d'honneur étant en réfection (nouvelle pelouse), sous la direction du nouveau staff, du moins du duo Cadiou - Ponte-Gomez, rejoint dans les jours à venir par Didier Darjo, l'ancien demi de mêlée et capitaine du RCR. Amis de longues dates, les trois hommes s'étaient promis la saison passée de travailler ensemble, le plus vite possible, à Rouen ou ailleurs. La décrépitude du club les a encouragés à proposer un projet à Marc-Antoine Troletti, le président du Stade rouennais. En début de saison passée, Benoit Cadiou faisait déjà partie du staff du RCR aux côtés de Jean-Paul Fourest et de Daniel Hourcade mais il avait décidé de prendre la tangente en décembre. « Les joueurs n'étaient plus payés et je ne voulais plus cautionner cette situation », explique ce technicien de 33 ans, titulaire du Brevet d'Etat 1. Pierre angulaire du jeu rouennais depuis 2004, le troisième ligne uruguayen Hernan Ponte-Gomez (28 ans) a lui aussi décidé de participer à l'essor du Stade rouennais, sans encore savoir s'il va chausser les crampons. « Il est en discussion avec lui-même », dit joliment Benoit Cadiou. « Je vais prendre une licence, dit le Sud-Américain, ingénieur en génie civil dans une société de Bois-Guillaume. Ça fait 21 ans que je joue, j'ai aujourd'hui envie d'un break. » Où sont les anciens du RCR ? Jean-Paul Fourest (coach, Mont-Saint-Aignan), Daniel Hourcade (coach) et Julio Farias (Belenenses/Portugal), Florent Ollivier (Césaire-Levillain), Juan Mangiamelli (Grasse), José Macomé (Montluçon), Marcello Diaz (Valence-d'Agen), Norman Wende (Saint-Etienne), Roman Suster (Auch), Gregorick Bouly (Aurillac), Anthony Taragnat (Marseille-Vitrolles), Thomas Janik et Romuald Berthe (Bobigny), Hernan Macomé et Diego Ternavasio (Argentine). :D:D:D:lol::lol::lol::lol::cool::cool::cool::P:P:P:P

Dernière modification par le bougnat normand (21/08/2009 21:47:24)

Bouly, un défi à sa mesure Grégoric Bouly a déjà été adopté par sa nouvelle ville, Aurillac RUGBY Quand on débarque à Aurillac, ce qui frappe en premier lieu c'est la chaleur étouffante qui règne dans cette ville du Cantal de 30 000 âmes. Comme dirait le poète, « sale temps pour les vaches grasses » et ce n'est pas Grégoric Bouly, ex-figure emblématique du pack rouennais et ses 130 kilos, débarqué cet été pour goûter aux affres de la Pro D2 à 31 ans, qui dira le contraire. Beaucoup de choses ont donc changé dans la vie du gaillard normand qui connaît avec le Stade Aurillacois son troisième club, après Gisors et Rouen, et le premier où il est là uniquement pour jouer au rugby. Le néoauvergnat revient sur son nouveau challenge et ce qui l'a poussé à accepter cette offre. LA FIN DU RCR C'est encore douloureux. Bouly a du mal à parler de cette dernière saison rouennaise, même s'il reconnaît que « sportivement, on avait le groupe qu'il fallait pour jouer les quarts de finale de play-offs. » Mais d'autres aléas sont venus se mêler à la donne. « C'est un beau gâchis. Si le président nous avait clairement défini la situation, on aurait pu s'en sortir, mais il a fait l'autruche, et a coulé le club. » Pour autant il est clair que le garçon gardera un œil sur le tout nouveau Stade Rouennais où il « n'exclut pas un retour si les choses ne se déroulent pas bien ici. Mais aujourd'hui je joue la carte Aurillac à fond, même si j'ai des progrès à faire. » AURILLAC, UN AUTRE MONDE C'est un club qui dispose d'un budget de 3,5 millions d'euros, l'un des plus petits avec le promu Lannemezan, mais qui parvient toujours à finir bien classé (8e l'an passé). En revanche, les structures sont bel et bien là. « On a tout sur place, salle de muscu, terrains annexes, staff compétent, et une moyenne de 5 000 personnes au match, donc il y a un vrai vivier ici. » Pour autant, le rugby subit la concurrence du handball qui évolue cette saison en division 1, et ces jeunes partent souvent rejoindre les voisins Brive et Montferrand, mais « le président a su multiplier les partenaires, notamment une flopée de commerçants locaux très attachés au rugby. » INTEGRATION Quand on se promène dans les rues exiguës de la vieille ville, il est étonnant de voir la reconnaissance autour du joueur. Même si la plupart des aficionados du cru n'osent encore l'approcher, on reconnaît le pilier dans la rue et il n'est pas rare de croiser d'autres joueurs. « C'est une petite ville familiale, la plupart des joueurs qui sont ici depuis longtemps ont ouvert des bars ou des restaurants, ce qui permet d'avoir des lieux où se retrouver. Il y a une délégation importante d'étrangers, moi-même je suis en concurrence avec un Sud-Africain et un jeune prometteur du coin. » Ce qui n'empêche pas le pilier normand d'être retenu dans le groupe pour affronter Oyonnax samedi. LA PRO D2 C'est le rêve de tout sportif de haut niveau de pouvoir vivre de son sport. Et ce rêve, Grégoric Bouly a attendu d'avoir 30 ans pour l'atteindre. « J'avais été contacté par La Rochelle et Limoges les deux dernières années, mais à Rouen ça se passait bien, je ne voulais pas partir. Aurillac, par l'intermédiaire de Walter Olombel (responsable du centre de formation) m'a supervisé cette saison et je suis allé faire un test en février dernier. A la suite des problèmes de Rouen, j'ai accepté, c'était l'occasion ou jamais de goûter à autre chose. Le niveau est beaucoup plus costaud, on me demande avant tout de tenir mon rôle dans la mêlée et de me déplacer beaucoup plus vite. Là il faut que je travaille et que je perde du poids (rires)… »

ce post devrait s'appeler "les articles de journaux sur les clubs de Rouen". Perso, qui sont les anciens joueurs de rouen, ou qui sont les joueurs actuels, on s'en fout un peu, surtout sur leur témoignages, ce qui nous importe, c'est ce qu'il font ou feront sur le terrain. Si tu veux je peux mettre les articles sur Evreux, mais honnetement, tout le monde s'en branle...