je pense que st etienne descendra en f3 comme chalon car chalon avait ete en demi final du trophe jean prat puis relegué en f3 pour les memes raison que st etienne.courage a vous et restaient derriere votre club

desolé je me suis trompé

chalon n a mit que 2 ans pour revenir en f1 , alors pourquoi st etienne n y arriverait pas

lanemezam c etait 2 ans avant le depot de bilan et pour le quart de final face a st etienne c etait l année du depot de bilan

Quintalshark a écrit :

OK j'avais saisi le truc mais... On a une masse salariale à assurer au moins sur 6 mois voire plus : en septembre on avait déjà un message négatif puis à nouveau en janvier ! Donc payer un contrat c'est annuel et là rien ou si peu dans les caisses, comment penser que sans carbure à la fin du mois les gus vont marner pour rien ?

Pour le cas où la SASP ne pourrait plus assumer ses engagements, les joueurs ne subiront aucun préjudice financier, grâce à notre Etat-Providence: En effet depuis sa création, la Sasp, comme tout employeur, cotise auprès du FNGS (Fonds National de Garantie des Salaires) lequel supplée toute entreprise défaillante pour verser les sommes résultant du contrat de travail, ie salaires et indemnités principalement. Les salariés privés d'emploi ne sont indemnisés par les Assedic/Pôle-Emploi qu'au terme du délai de carence correspondant aux périodes post-rupture déjà indemnisées par le FNGS. Or dans sa grande sagesse, le législateur social impose que tous les contrats de travail de sportifs soient des CDD (Contrats à durée déterminée) lequel type de contrat prévoit que l'indemnité minimum de rupture que doit percevoir un salarié dont le contrat ne va pas à son terme est égale aux salaires restant à percevoir jusqu'à la fin de son contrat. Comme par ailleurs, aussi bien les licences des joueurs "pro" sont délivrées par l'association-support de même que l'engagement des équipes dans leurs compétitions respective est fait par et au nom de l'asso-support, la défaillance de la structure commerciale n'a pas d'incidence sur la possibilité de l'équipe dite "pro" de poursuivre la saison. Simplement les joueurs n'ont plus l'obligation juridique des salariés d'aller "au boulot", mais: 1) comme ils sont payés 2) qu'a priori, ils ont choisi de jouer au rugby (plutôt que d'y avoir été contraints... quoique ... parfois on se demande...pour certains) 3)qu'ils peuvent avoir envie de défendre leur maillot, 4)que leur intérêt est de montrer leurs qualités à des sergents recruteurs et autres maquignons spécialisés donc, rien n'empêcherait un club de fédérale dont la Sasp serait défaillante de terminer honorablement la saison et de ne pas fausser le championnat a condition que l'association support soit financièrement saine. Ce qui n'était pas le cas à Marseille, ou à Nice où SASP et Asso étaient plombées ni à Chalon et Nimes(?) où il n'y avait pas de Sasp . Une Sasp n'est donc pas qu'un support avec lequel d'ignobles capitalistes font mumuse en spéculant honteusement sur le sang, la sueur et les larmes d'aimables et robustes bambins en culottes courtes, comme les dénoncent régulièrement de subtiles tortues ou d'indomptables renards, c'est aussi un vrai fusible en cas de ressac dans un parcours sportif ambitieux. A condition que l'association-support soit en mesure de... supporter. A Sainté, on n'est pas particulièrement inquiets !

Chalon et Nîmes avaient des SASP. Ils ont été rétrogradés à cause de leurs budgets, chose qui est aussi reproché au CASE par rapport aux documents de la DNACG du début de saison... La SASP ne permet pas tout

Exact, le RCC avait déposé le bilan et terminus.... L' ASRCC est né et démarre en fed3, poule 15, gagne 18 matchs de poule puis va chercher le bout de bois. Niveau sportif, c'est bien avec leur retour en fed1 cette année. Niveau économique c'est moins bien avec une ardoise qui passera à l'as.