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3° mi-temps

PROBLEME DE SOCIETE. FIN DE VIE

#1

Il faut définitivement que l'on résolve ce problème. Le président de la République a ouvert le débat et il ne veut surtout pas parler d'euthanasie, il préfère le terme fin de vie et je suis d'accord avec lui. J'ai été confronté à ce grave problème et pour ça je me permets d'en parler. Si je peux exptimer mon iidée, la voici. Accord d'au moins deux proches de la famille, de deux médecins et tout doit se faire dans la discrétion.

Ma CAMILLE et moi,

#2

2 enfants pour hériter plus vite ou la veuve et son amant ? Oui au débat mais pas avec ta solution gambi.

#3

Gambistorti a écrit :

Il faut définitivement que l'on résolve ce problème. Le président de la République a ouvert le débat et il ne veut surtout pas parler d'euthanasie, il préfère le terme fin de vie et je suis d'accord avec lui. J'ai été confronté à ce grave problème et pour ça je me permets d'en parler. Si je peux exptimer mon iidée, la voici. Accord d'au moins deux proches de la famille, de deux médecins et tout doit se faire dans la discrétion.

même pas.....il dit ça roll

"SAVOIR SE CONTENTER DE CE QUE L'ON A:C'EST ETRE RICHE"
....LAO TSEU....père fondateur du Taoïsme

"L'Homme qui murmurait à l'oreille des pottok

#4

Quand c'est possible, respecter les des dernières volontés du malade s'il s'est exprimé sur le sujet..... PS. On dev rait tous le faire, laisser une lettre explicite chez un notaire sur la dignité de notre propre mort !

"Il faut toujours viser la lune, car même en cas d'échec, on atterrit dans les étoiles."
O.Wilde

#5

la sup a écrit :

Quand c'est possible, respecter les des dernières volontés du malade s'il s'est exprimé sur le sujet..... PS. On dev rait tous le faire, laisser une lettre explicite chez un notaire sur la dignité de notre propre mort !

T'as raison !!! un codicille dans les dispositions testamentaires... (à n'ouvrir qu'après la mort du de-cujus*) lol T'es trop fort, la sup !!! *t'en es un autre!!! quoique, être une de-cuja ne doit pas être facile non plus!

Life's but a walking shadow, a poor player / that struts and frets his hour upon the stage
and then is heard no more: it is a tale / told by an idiot, full of sound and fury,
signifying nothing
.
   WS - Macbeth -V-5

#6

Le malade peut-il clairement dire ce qu'il souhaite, lorsqu'il n'est plus capable de le faire ??? Lorsqu'un médecin t'annonce qu'il n'y a plus rien à faire, juste attendre, et que le malade souffre terriblement.... mais que la morphine risque d'accélérer le décès.... c'est quoi la meilleure décision ????? Attendre 1 jour, 1 semaine de plus et laisser souffrir la personne que tu aimes ou bien prendre la décision ultime.... Il faut être, ou avoir été confronté au problème pour pouvoir réellement en parler....... Ce n'est pas une décision politique le moment venu..... mad

Un lion ne meurt jamais............. Il dort

#7

Mouai hmm

"SAVOIR SE CONTENTER DE CE QUE L'ON A:C'EST ETRE RICHE"
....LAO TSEU....père fondateur du Taoïsme

"L'Homme qui murmurait à l'oreille des pottok

#8

Gambistorti a écrit :

Il faut définitivement que l'on résolve ce problème. Le président de la République a ouvert le débat et il ne veut surtout pas parler d'euthanasie, il préfère le terme fin de vie et je suis d'accord avec lui. J'ai été confronté à ce grave problème et pour ça je me permets d'en parler. Si je peux exptimer mon iidée, la voici. Accord d'au moins deux proches de la famille, de deux médecins et tout doit se faire dans la discrétion.

Pour avoir été confronté à ce douloureux problème (qui se pratique qu'on le veuille ou non), c'est le cancérologue lui même qui a jugé que pour abréger les atroces souffrances du mourant nous a demandé s'il pouvait abréger son agonie. Il n'a pas demandé à son épouse, qui n'a jamais rien su mais c'est aux enfants qu'il s'est adressé et nous l'avons vu partir, apaisé. Par contre je suis contre une loi qui autoriserait l'euthanasie, cela doit se faire dans l'intimité entre la faculté et la famille.

Ma CAMILLE et moi,

#9

Gambistorti a écrit :
Gambistorti a écrit :

Il faut définitivement que l'on résolve ce problème. Le président de la République a ouvert le débat et il ne veut surtout pas parler d'euthanasie, il préfère le terme fin de vie et je suis d'accord avec lui. J'ai été confronté à ce grave problème et pour ça je me permets d'en parler. Si je peux exptimer mon iidée, la voici. Accord d'au moins deux proches de la famille, de deux médecins et tout doit se faire dans la discrétion.

Pour avoir été confronté à ce douloureux problème (qui se pratique qu'on le veuille ou non), c'est le cancérologue lui même qui a jugé que pour abréger les atroces souffrances du mourant nous a demandé s'il pouvait abréger son agonie. Il n'a pas demandé à son épouse, qui n'a jamais rien su mais c'est aux enfants qu'il s'est adressé et nous l'avons vu partir, apaisé. Par contre je suis contre une loi qui autoriserait l'euthanasie, cela doit se faire dans l'intimité entre la faculté et la famille.

Ok avec toi,cela se pratike couramment avec des médecins ou chir intelligent ;mais faut bien une loi pour cadrer ces actes et ne pas faire tomber toute la responsabilité sur une seule personne.

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#10

MA DALTON a écrit :

Le malade peut-il clairement dire ce qu'il souhaite, lorsqu'il n'est plus capable de le faire ??? Lorsqu'un médecin t'annonce qu'il n'y a plus rien à faire, juste attendre, et que le malade souffre terriblement.... mais que la morphine risque d'accélérer le décès.... c'est quoi la meilleure décision ????? Attendre 1 jour, 1 semaine de plus et laisser souffrir la personne que tu aimes ou bien prendre la décision ultime.... Il faut être, ou avoir été confronté au problème pour pouvoir réellement en parler....... Ce n'est pas une décision politique le moment venu..... mad

Ce n'est pas ce dont je parle.....Moi, au jour d'aujourd'hui, encore sain d'esprit (enfin, je l'espère big_smile), j'ai clairement fait savoir à mes prôches ma manière de partir et j'ai une lettre dans mon portefeuille très claire sur le sujet.

"Il faut toujours viser la lune, car même en cas d'échec, on atterrit dans les étoiles."
O.Wilde

#11

J'ai peur qu'une loi vienne au contraire légaliser cette permission de tuer car il ne faut pas avoir peur des mots, tout doit se faire en accord famille-faculté. Le milieu catholique est contre l'euthanasie et il faut respecter leur croyance alors dans ce cas la médecine ne fera rien. Rappelez vous cette affaire où c'est l'infirmière elle même qui faisait la piqûre fatale Elle a été condamnée et c'est normal

Ma CAMILLE et moi,

#12

la sup a écrit :
MA DALTON a écrit :

Le malade peut-il clairement dire ce qu'il souhaite, lorsqu'il n'est plus capable de le faire ??? Lorsqu'un médecin t'annonce qu'il n'y a plus rien à faire, juste attendre, et que le malade souffre terriblement.... mais que la morphine risque d'accélérer le décès.... c'est quoi la meilleure décision ????? Attendre 1 jour, 1 semaine de plus et laisser souffrir la personne que tu aimes ou bien prendre la décision ultime.... Il faut être, ou avoir été confronté au problème pour pouvoir réellement en parler....... Ce n'est pas une décision politique le moment venu..... mad

Ce n'est pas ce dont je parle.....Moi, au jour d'aujourd'hui, encore sain d'esprit (enfin, je l'espère big_smile), j'ai clairement fait savoir à mes prôches ma manière de partir et j'ai une lettre dans mon portefeuille très claire sur le sujet.

Fais gaffe de ne pas avoir inversé des mots, par exemple, si tu parles de crémation avant de parler d'euthanasie. wink

Un accusé est cuit quand son avocat n'est pas cru

#13

Gambistorti a écrit :

J'ai peur qu'une loi vienne au contraire légaliser cette permission de tuer car il ne faut pas avoir peur des mots, tout doit se faire en accord famille-faculté. Le milieu catholique est contre l'euthanasie et il faut respecter leur croyance alors dans ce cas la médecine ne fera rien. Rappelez vous cette affaire où c'est l'infirmière elle même qui faisait la piqûre fatale Elle a été condamnée et c'est normal

C'est généralement les infirmières qui s'occupent des basses oeuvres,ceci dit elle peuvent s'en occuper avec l'accord du patient et de la famille. En chirurgie,c'est souvent le praticien qui décide de ne plus s'acharner en sal'd'op

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