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Fédérale France - Angleterre, 16-15 Un Crunch croustillant Sermoise-sur-Loire, vendredi 31 janvier (Ovalien Dupré). _ Stade du Pré-Fleuri. France bat Angleterre, 16-15 (5-10). Arbitre : Graeme Wells (Ecosse), assisté de Stéphane Crapoix et Thierry Guilloton (juges de touche), Clément Lévy et Romaric Seurre. Temps froid, éclairage parfait, pelouse grasse, 4.500 spectateurs environ. Pour la France : 2 essais Rougé (14e’), Anies (50e’) ; 2 pénalités Levy (65e’, 80e’). Cartons jaunes : Rougé (31e’), Lamarque (69e’). Pour l’Angleterre : 2 essais Wigglesworth (37e’), Johnson (70e’) ; 1 transformation (37e’) et 1 pénalité (22e’) Johnson. France : 15. Lamarque (Lormont) ; 14. Levy (Aix-en-Provence), 13. Rougé (Nevers ; 21. Lafite, Cognac, 59e’) 12. Anies (Céret), 11. Bonvalot (Nevers ; 22. Lafitte, Périgueux, 71e’) ; 10. Lavie (Langon), 9. Dubert (Tyrosse) ; 7. Costanzo (Périgueux ; 19. Bezert, Romans, 45e’), 8. Capdeillayre (La Seyne-sur-Mer, cap.), 6. Geledan (Bagnères-de-Bigorre) ; 5. Potente (Lavaur), 4. Senac (La Seyne-sur-Mer ; 18. Kahn, Tyrosse, 56e’) ; 3. Etchegaray (Blagnac), 2. Lauga (Montauban ; 17. Dupuy, Argelès-Gazost, 15e’-17e’, 61e’), 1. Palomera (Gruissan ; 16. Agnesi, Montauban, 45e’). Non utilisés : 20. Cluzalebes (Oloron-Sainte-Marie), 23. Attia (Tyrosse). Manager : Georges Duzan. Entraîneurs : Yves Ajac et Pierre Montlaur. Angleterre : 15. Wigglesworth ; 14. Briers (23. Taylor, 65e’), 13. Adams, 12. Myring (22. Richards, 61e’), 11. Mitchell ; 10. Johnson (cap.), 9. Bolt (21. Heeks, 61e’) ; 7. Stapley, 8. Jones (20. Mc Craith, 56e’), 6. Stradwick ; 5. Hilton, 4. Wearmouth ; 3. Shields (17. Ford-Robinson, 61e’) 2. Mc Namee (16. Matthews, 78e’), 1. Kalbraier. Non utilisés : 18. Haskins, 19. Phillips. Devant 4.500 spectateurs l’équipe de France, battue l’an passé à Londres (27-7), a pris sa revanche sur celle d’Angleterre, dans un froid glacial mais un Pré-Fleuri chaud-bouillant. Bien rentrés dans la partie, à l’image de ce maul dévastateur de la 4e minute, les Bleus déflorèrent logiquement le tableau d’affichage quand le centre usoniste Jordi Rougé termina en force une action initiée par l’omniprésent deuxième ligne Anthony Potente (5-0, 14e’). L’ouvreur Chris Johnson réduisit l’écart sur une pénalité avant que les siens profitent d’une supériorité numérique (carton jaune très sévère à Rougé sur un ‘‘contest’’) pour passer devant. L’arrière Jim Wigglesworth signa une course de quarante mètres agrémentée de deux crochets intérieurs pour inscrire un essai transformé par Johnson (5-10, 37e’). Les contres anglais Et pour que ce France-Angleterre respecte la tradition, les deux formations regagnèrent les vestiaires juste après s’être chauffé les oreilles et les phalanges. Sur un terrain de plus en plus gras, la bataille fit rage et le flanker Costanzo dût quitter les siens, la cheville gauche en capilotade. La volonté tricolore de recoller au score s’affichait à un point tel que la défense britannique craqua une seconde fois sur un petit côté bien négocié par le centre Thomas Anies (10-10, 50e’). La mêlée tricolore mettant son homologue au supplice, le pied de l’ailier droit Lucas Levy concrétisa cette domination (13-10, 65e’). Le bon Levy Mais les contres anglais étaient particulièrement meurtriers, notamment après l’entrée du puissant centre Kiba Richards. L’un d’eux coûta un nouvel avertissement aux Français et, dans la foulée, un autre essai britannique. Seulement, Johnson, qui venait d’aller à dame, vit sa transformation contrée par une montée supersonique de Levy ! Ces deux points laissés en route, les Anglais allaient amèrement les regretter… Dans une ambiance digne des plus grands Crunches, le public du Pré-Fleuri entama une Marseillaise qui galvanisa les Bleus. La mêlée tordit une dernière fois sa rivale et la pénalité qui s’ensuivit sur la ligne médiane fut tapée en pénaltouche jusqu’aux 22 anglais. La prise parfaite déboucha sur un maul qu’écroula, par désespoir, le remplaçant Johnny Matthews qui venait de rentrer ! Restait à Levy à ne pas trembler et à réussir la pénalité de la gagne, mission accomplie devant les supporters en folie. Lors des deux minutes de temps additionnel, les Bleus collèrent leurs rivaux dans le gras de leurs 22 mètres. Cette victoire, ils n’allaient plus la lâcher, trop heureux de pouvoir scander le célèbre sorry, good game !
tof58 a écrit :En tous cas, gros match de vos 2 joueurs !!!!
Sex Bomb a écrit :belle perf ! PS : je répète à toutes personnes intéressées que l'indemnité de transfert de nos deux Seynois Sénac et Capdeillayre est inabordable. C'est Gambi qui a fixé le prix. A moins d'être milliardaire...
Merci pour eux. Mais je t'avouerais que c'est pratiquement vrai à chaque match.
Et ça fait 15 ans que ça dure pour JU. Capdeillayre (il a débuté à 17 ans en première) et onze saisons pour Ben. Sénac. qui avait quitté le centre de formation d'Agen pour faire le plein de vitamine D en bord de plage ![]()
la pénalité de la gagne.