eclotien effectivement je fais des fautes mais ce n'est pas ma principal preocupation!on ecrit pas une dictée n'on plus a ce que je sache!!!

un botteur un botteur un botteur...

latribune a écrit :

supporterRCO a écrit :

Bon maintenant c'est pas la fin du monde... même si tout le monde est deçu... j'espère que le groupe ne va pas éclater surtout devant ... Pour l'année prochaine il faut absolument un botteur et un 10 capable de déplacer le jeu comme faisait burton à l'époque...

Non c est pas la fin du monde. Je sais pas comment etait commenter le match a la radio mais pour ce qui etait le visu c etait un excellent match. deux equipes qui ont envoye du jeu. Franchement je crois que c est le meilleur de la saison que j ai vu . On a pas vu le temps passe tellement c etait intense. la séquence de jeu des dernieres minutes fut magnifique tellement ca prenait aux tripes .Je regrette pas le déplacement.

cela dit je comprends ta déception; on est tous deçu de voir que depuis la descende d'elite2 il y a 10 ans on n'a pas su rebondir malgré un gros budget...la radio j'ai pas écouté pour 1 fois car à chaque fois que je l'écoutais on a toujours perdu... ils on annoncé le départ de videcker mais est ce sur le coup de la déception ou va t il jouer à proto avec burton et clemens...

Oui, il faut 1 buteur ou même 2, non? Pourquoi ne pas faire revenir certains anciens qui jouent à Vierzon par exemple??? Ah parce que 1 dirigeant ou 2 dirigeant sont fâchés avec lui? Et bien remplaçons plutôt ces dirigeants plutôt que des joueurs, cela m'apparait bien plus intéressant... Mettons des dirigeants qui savent rassembler les joueurs et non qui les excluent, enfin c'est mon avis.

Venizia a écrit :

Oui, il faut 1 buteur ou même 2, non? Pourquoi ne pas faire revenir certains anciens qui jouent à Vierzon par exemple??? Ah parce que 1 dirigeant ou 2 dirigeant sont fâchés avec lui? Et bien remplaçons plutôt ces dirigeants plutôt que des joueurs, cela m'apparait bien plus intéressant... Mettons des dirigeants qui savent rassembler les joueurs et non qui les excluent, enfin c'est mon avis.

On change pas la betise humaine . Plus facile de changer les joueurs que les dirrigeants

personne ne ma piqué mais il me semble avoir des propos coherant!!ravis de cette victoire! meme si nous avions perdu nous serions quand meme en jean prat....

Petite interview de Didier Nourault publiée sur le site de la « Rep »

Un entretien avec Didier Nourault, manager général du RC Orléans Publié le 23 février 2010 - 10:27 Didier Nourault (au premier plan, à droite) : « Ne pas jouer en mai, alors que les marguerites sont dans la pelouse, c'est une catastrophe, financière surtout ». Aujourd'hui critiqué, l'ancien coach de Montpellier (Top 14) évoque les raisons d'un échec. Celui qui prive les Orléanais d'une participation au Jean-Prat. Didier Nourault, le RCO, battu dimanche à Vannes (11-10), ne s'est pas qualifié pour le Trophée Jean-Prat. Que répondez-vous, aujourd'hui, à ceux qui critiquent et estiment que vous n'êtes pas, cette saison, l'homme de la situation ? Certains pensent cela, vraiment ? Ce n'est pas mon problème... Qu'ils viennent me voir. Me rencontrer et on discutera de ce que l'on peut faire ensemble. Après tout, toutes les idées sont bonnes. Vous savez, il ne sert à rien d'avoir des résultats qui cachent la forêt, alors que le club n'est pas encore prêt à monter en Pro D2. Quel est l'intérêt de se fixer des objectifs trop ambitieux ? Quel est l'intérêt du Jean-Prat, si c'est pour finir au mois d'avril, éliminé prématurément, avec, à la fin, des matches sans enjeu ? Les play-downs peuvent être, au contraire, une super belle aventure, jusqu'en mai ou juin, période à laquelle ceux qui me critiquent aujourd'hui pourront encore voir du rugby... Les play-downs seront l'occasion de construire, de donner une âme au groupe. Avec Didier Nourault, l'an prochain encore au RCO ? Je ne réponds pas aujourd'hui à cette question. Il n'y a aucune discussion en cours. En revanche, nous avons vu les joueurs et je peux vous dire que le groupe sera très solidaire la saison prochaine. Le départ du capitaine Alexander Widiker est probable. Il souhaite arrêter le rugby et retourner, chez lui, en Allemagne. Comment expliquer la mauvaise saison du club orléanais ? À la reprise, cet été, ce fut très dur. J'ai immédiatement compris qu'il y aurait beaucoup de travail. Physiquement, surtout... Nous avons repris l'entraînement en août. Les gars n'avaient plus joué depuis avril et, c'est vrai, là, on peut évoquer, au début, un relâchement estival. La période sans compétition avait été trop longue... Ne pas jouer en mai, alors que les marguerites sont dans la pelouse, c'est une catastrophe, financière surtout. Mai, c'est le meilleur moment de l'année pour jouer ! Quand je pense à l'inauguration de l'éclairage du stade en janvier contre Niort, dans le vent et sous la pluie, je me dis que, cela, c'est de l'anti-rugby. Vous n'avez pas assisté à tous les matches du RCO... Certains ont pensé que mon arrivée allait tout changer. Or, ce n'est pas le staff qui joue. Je le répète : la gagne, c'est sur la pelouse qu'on va la chercher. Cela, c'est le premier point. Le deuxième, c'est que le club est en train de se restructurer, surtout en dehors du terrain. À mon sens, c'est le plus important. Une restructuration avec des contraintes économiques ou budgétaires qui ont empêché le recrutement, notamment, d'un bon botteur ? Nous avons pris des garçons du cru. Le club s'est montré raisonnable. Dans ces conditions, il ne fallait pas s'attendre à des miracles. Il a aussi fallu que le groupe s'adapte à de nouveaux systèmes de jeu. Cela a demandé du temps, c'est vrai. La phase retour a été meilleure que la phase aller. Nous sommes parmi les meilleures défenses de Fédérale 1. Nous avons marqué beaucoup d'essais. C'est là-dessus que l'équipe doit être capable de rebondir. L'échec fait partie de la vie. Ce qu'il faut, c'est que les partenaires nous fassent confiance. Plaie et suspicion de fracture Le combat perdu dimanche à Vannes a laissé des traces. Et pas seulement dans les têtes... Comme indiqué dans notre précédente édition, le deuxième ligne orléanais, Ludovic Beauredon, a été brièvement hospitalisé pour une plaie à la lèvre, qui a occasionné la pose de cinq points de suture. Beauredon devrait, toutefois, jouer dimanche, à Montmélian, pour le compte de la première journée des play-downs. Pour Philippe Pery (troisième ligne), la gravité de la blessure a semblé plus sérieuse dans un premier temps, puisqu'il avait été plâtré par précaution. Lundi soir, la crainte d'une fracture à un os du poignet, redouté quelques heures plus tôt par Franck Cohen, l'un des entraîneurs, ne semblait plus être d'actualité, à la suite d'un nouvel examen médical. Quant à Bonzolé Mololo (pilier), il ne pouvait plus bouger la main lundi matin. On craignait, là encore, une fracture. Recueilli par L. Coursimault

Dernière modification par Franck45 (23/02/2010 12:27:16)