L''organisation de la tête amateur des compétitions de la FFR est un serpent de mer dont je ne pense pas trouver l'équivalent dans les autres disciplines.
cela vient sans doute aussi du rapport à l'argent très particulier entretenu longtemps par les instances anglo saxonnes mondiales ( se souvenir de la question du jeu à 13 après guerre ). Bref, longtemps jusqu'en 1995 et l'instauration d'un professionnalisme officiel, nous étions au sommet de la pyramide dans l'amateurisme dit marron , parfois foncé, souvent clair ..
Maintenant, entre le vrai monde amateur ( la F2 et en dessous ) et la pro D2, nous avons la zone grise ou marécageuse des1/N2 et F1 dans laquelle on trouve un peu de tout: dans anciens historiques et pros déclassés( Tarbes, Narbonne ), des has been ( Graulhet, Nîmes, Dijon ), des valeurs sûres historiques amateur ( Tyrosse, FCO, Bagnères, Lannemezan ), des émergeants ( Massy, Suresnes ), des clubs ayant toujours fait l'ascenseur avec l'élite ( Mauléon, Peyrehorade, Catelsarrasin , Fleurance ), des jeunes nouveaux à ce niveau ( Rion, Barbezieux, Chartres, Genève ) etc .;je cite en vrac sans trop fouiller, ce n'est pas le but ici.
Bref, toute une cohorte hétéroclite résultant des résultats sur le terrain et des budgets du moment ..
Je suggère une mesure simple: un budget cap: si un budget est supérieur à 2 M€, on est semi- pro avec un cahier des charges adapté ; Sinon, tout le monde logé à la même enseigne en F1 avec des moyens financiers proches . bien évidemment, un cabinet d'expertise comptable digne de ce nom saura certifier la situation des uns et des autres;