supolo a écrit :ilI est normal que l organisation actuelle du sport et du rugby en particulier genere des abus et des ambitions ! on peut considerer que peu de clubs sont affectes Il serait souhaitable de reglementer la F1 N2 au moins en obligeant les clubs a traiter les joueurs comme DES AMATEURS !
Un statut s impose un travail obligatoire ?
Difficile d'imaginer le retour à d'anciennes pratiques depuis que le rugby a “légalisé” le professionnalisme des joueurs. La notion d'amateur étant liée au club. Serait ce même souhaitable. Il faut avoir connu les pratiques de l'époque pour contourner la réglementation même en niveau régional. Les postes fléchés en Mairie pour soutenir le club, emplois fictifs, les enveloppes distribuées et les caisses noires, les avantages divers en logement, vacances, postes pour les conjoints, passe droits divers… Ce qui n'empêchait pas les “mises en liquidations”.
Depuis la nuit des temps, l'argent a circulé dans le rugby sous la table ou au grand jour. Je ne pense pas que cela s'arrêtera par une forme de prohibition financière.
Les associations loi 1901 peuvent proposer des contrats salariés sauf (en simplifiant) pour rémunérer les dirigeants (globalement c'est là que va se situer le couperet). Difficile de l'interdire aux clubs sportifs.
Pour certains joueurs, le rugby est un complément indispensable pour vivre même s'ils n'ont pas un niveau suffisant pour les 3 premières divisions (en cuisine, il n'y a pas que les étoilés qui peuvent être rémunérés). Ce sont les dirigeants des clubs qui conduisent aux échecs faute de garanties, de bonne gestion.
La réglementation actuelle doit sûrement être appliquée avec plus de sévérité tant que l'hémorragie dans les divisions nationales et fédérales continue à ce rythme mais cela va également priver certains territoires d'infrastructures du fait des sanctions admninistratives et rétrogradation etc…
En tout cas le sujet est vraiment préoccupant car les conséquences ne seront pas que financières mais toucheront à la qualité du rugby, au réservoir déjà affaibli et à la vie des territoires.