Ange Pastucci a écrit :

amis de la poule 4 qui sent si bon le thym et la farigoulette, bonjour! Les grands évêques bigourdans n'auront pas a ouvrir de nouveau dossiers sous leurs hospices lourdais, le miracle n'a pas eu lieu. Le pontet-Avignon est reparti vainqueur du stade du lac et ce de la manière la plus juste qui soit. Dès la 6 ème minute, la machine à 16 pattes anglophone a franchit la dernière ligne ardéchoise et peu après, un boulet de canon (également polyglotte) transperça par un remarquable "strike" la défense "Tango". La messe était dite et les sourcils se fronçaient d'inquétude souS la cahutte privadoise. Un courage énorme et une solidarité sans faille ont, encore une fois, permi aux "amateurs" oranges de redresser la tête et tout le reste du corps souvent mis à mal. Le score est donc resté dans des proportions acceptables, ce qui, comptablement ne nous satisfait guère. Pour être plus clair, nous avons hier assisté a un combat de judo gagné par un +120kg (ceinture noir 8ème dan, salarié), contre un -65kg (ceinture verte à bretelles) qui l'a cependant aggacé en lui mordant les chevilles. Dimanche, reception de nos voisins riches de 3 Chateaux; Encore un grand moment d'incertitude... Libertà A.P. (quant à la boiteuse, elle avance encore...)

Salut Ange , Dirigeant au RC TRICASTIN et grand amateur de verbes , j'ai hate de mettre un visage sur celui qui manie si bien le mot et anime avec joie ce symphatique forum J'espère que quoi qu'il en soit nous pourrons partager le houblon qui accompagne nombreux clubs houses les dimanches aprés-midi . Pour info j'ai envoyé tes ouvrages à Jacques VERDIER du MIDOL et il souhaiterai t'offrir une rubrique sur le jaune A dimanche ...

Ange Pastucci a écrit :

amis de la poule 4 qui sent si bon le thym et la farigoulette, bonjour! Le pontet-Avignon est reparti vainqueur du stade du lac et ce de la manière la plus juste qui soit. Dès la 6 ème minute, la machine à 16 pattes anglophone a franchit la dernière ligne ardéchoise et peu après, un boulet de canon (également polyglotte) transperça par un remarquable "strike" la défense "Tango". La messe était dite et les sourcils se fronçaient d'inquétude souS la cahutte privadoise.. Pour être plus clair, nous avons hier assisté a un combat de judo gagné par un +120kg (ceinture noir 8ème dan, salarié), contre un -65kg (ceinture verte à bretelles) qui l'a cependant aggacé en lui mordant les chevilles. Dimanche, reception de nos voisins riches de 3 Chateaux; Encore un grand moment d'incertitude... Libertà A.P. (quant à la boiteuse, elle avance encore...)

Hola Ange ! Maitre Yoda n'a donc rien pu faire et perdu tu as. Vainqueur, sur le pré, le Pontet est reparti. Même si coeur et tête embrumés, vainqueur en chants as tu été ?? Sache que pour nous aussi c'est dur même si amélioration il y a eu. Plaisir trouvé ce week avec les experts. Non pas Horacio à Miami, mais des handballeurs bondissants, courageux, solidaires, excellents et combattants. Plaisir j'ai eu dans cette grande équipe nationale de HANDBALL à défaut, dans le rugby, pour nos équipes régionales d'en avoir. Courage et motivation tu trouveras. Ce dimanche vaincre et tes doutes enlever. Chanter la boiteuse, alors force et plaisir tu trouveras. Bona furtuna

Voilà le sort continue de s'acharner, même l'éponge magique n'y peut rien, bien sûr il ne s'agit pas de pb majeurs mais la vie parfois nous joue des tours. Elle vous use et vous ôte l'énergie dont vous avez besoin pour penser à autre chose. J'en suis là, je n'oublie pas. Mais parfois nous ne choisissons pas. J'espère que les choses vont s'arranger d'ici peu, il en est ainsi. W

Ange Pastucci a écrit :

amis de cette poule 4 qui sent si bon le thym et la farigoulette, Bonjour ! c'est l'âme grise et avec l'encre noire que je viens déposer ici, sur ce coin de zinc virtuel, les états d'âmes d'un philantrope passionné. Je ne parlerai pas du match qui a opposé une vraie équipe (def: Groupe de personne ayant le même but ou devant accomplir un travail commun) tango mais faiblissante à une autre équipe sans grand génie mais sûre de son fait, patiente et qui n'a finalement pas eu a forcer son talent pour faire respecter les lois de la nature et du nombre. Je ne vous parlerais pas non plus des rugbymen, mais plutôt des hommes, ceux que j'ai vu vers 17 heures, fourbus, assis sur des banc, les mains (et le reste) entre les jambes, la tête enfouie dans des épaules concassées, les yeux fixés sur le bout des chaussures crottées, dans ce vestiaire sentant le camphre et la transpiration, devenu soudain tombeau alors que, 2 heures avant, il était "temple" où l'on se promettait la victoire à coup sûr, les yeux dans les yeux... Que dire et que leur dire ? Tout simplement qu'ils sont des hommes, des hommes avec leurs qualités et leurs défauts mais surtout des hommes avec leurs limites. Nous tirons sur une corde depuis trop longtemps, toujours ensemble, mais depuis trop longtemps. Hier, elle nous a pété dans la gueule. Ca fait mal. Oh les gars ! vous savez quoi? j'ai trouvé une autre corde au fond de mon sac !!! Rendez vous dimanche avec le sourire !!!! Libertà A.P.

merci pour ces quelques lignes que nous prenons plaisir a lire chaque semaine........et merci pour la réception d'après match........bonne continuation ...sportivement

hors sujet ! amis de cette poule 4 aux odeurs de thym et de farigoulette, je me permets de vous balancer ce petit article sur "nos chers diparus", loin des passions excessives liées à une montée ou une descente... J'en ai quelques uns sous le coude mais aujourd'hui je vais vous parler d'un geste oublié: la passe plongée. Qu’il était beau… suspendu dans les airs, en lévitation dynamique, les yeux fixés sur l’offrande qu'il venait d'envoyer à son compère de la paire, ce numéro 10, complice de toutes les combines, de toutes les mauvaises passes, ce frère de charnière dont il ne se séparait que de temps en temps, pour aller faire sauter le verrou d’un côté que tout le monde supposait fermé. Bref, qu’il était beau dans ce geste ultime, ce saut de l'ange, permettant la survie du ballon, permettant de l’extraire de cette fange boueuse, issue d’une lande de terre que le monstre à 16 pattes s’était chargé de labourer dans une lutte sauvage, emmêlé contre les autres, les frères ennemis, qui, eux aussi auraient bien voulu offrir à leurs lutins de derrière, ce précieux morceau de cuir. Mais ensuite, alors que tout le monde (joueurs, arbitres et spectateurs) avaient leurs yeux kidnappés par le ballon volant, saisi par le suspens d’une attaque en ligne ou dans l’attente d’un geste de funambule d’un ¾ en liberté, notre homme, abandonné par ses compagnons de joute, perdait alors toute son importance. Oubliant son corps, le boulot accompli, il allait s’aplatir comme une grosse merde dans la première flaque, telle la bouse d’un taureau andalou sentant bien que le guignol à cheval qui s’agite devant lui n’est pas là pour l’inviter à de sympathiques agapes. Le ballon était déjà bien loin, il ne lui restait plus qu’à se relever ruisselant de terre liquide, les bras ballants, n'ayant de neuf que le numéro que l'on pouvait à peine deviner sous ses épaules fourbues. Pendant tout ce temps, le jeu s’était poursuivi; maintenant il y avait « touche ». C’était pire…… libertà A.P.

Dernière modification par Ange Pastucci (09/02/2010 14:30:52)

Amis de cette poule 4 qui sent si bon le thym et la farigoulette et qui va bientôt pouvoir s'enivrer du chant des cigales, bonjour!!! Pour la St Valentin, les Tangos ardéchois organisent une excursion en Camargue, là où le rhône a décidé de se prélasser entre marais salants, manades et vestiges romains, dans cette bonne vieille ville d'Arles, entre Alpilles et Méditerranée. Nos vaillants privadois, réunis hier soir autour d'un Curry de poulet, sont donc fins prêts et ne jouerons pas "l'arlésienne", en ce jour promis aux aggapes amoureuses. La seule nuance proviendra sûrement de la bise, pourtant si langoureuse quand elle vient d'une bouche pulpeuse mais pouvant être glaciale quand elle vient du nord. Sur ce, je doute que nos amis arlésiens nous attendent avec des roses et des dessous "sexy" et je pense que nos futures etreintes seront plutôt viriles. Que Valentin, Roméo et autres Cyrano dorment tranquilles, ce n'est pas demain que s'écrira une des plus belles page du romantisme de l'histoire...quoi que !!! A.P. libertà

Chapeau bas les TANGOS. tout travail mérite "sa bière" bonne soiréeeeeee:lol::lol::lol: adessias Ange;)