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LE BABU a écrit :On le voit bien cette année les" petites villes" mise a part CASTRES descendent TOUTES et seul BOURGOIN se sauve inextremiste, mais pr combien de temps?.Donc c'est certain de part justement le peu de retombées médiatiques en comparaison du sport roi le FOOT,qui pourraient niveller un peu le potentiel industriel et démographique, le RUGBY D'ELITE de l'ere moderne [size=15]ne sera plus[/size], malheureust pratiqué dans les années a venir dans de petites villes, car elles n'ont plus les moyens tout simplement.Et a tous les étages, c'est le même constat avec des proportions similaires. C'est exactement la même logique qui fait se creer les communautés de communes de nos jours et les politiques territoriales et investissements qui en decoulent, il faut etre GROS pr survivre et investir, les PETITS vegetent ou disparaissent malheureusement.Pourquoi? parceque [size=15]L'ARGENT dicte tout de nos jours [/size]et fini le bon temps ou il avait encore des sentiments.
Rien à dire de plus, le rugby pro passera par des grandes villes ou carrément des régions à la même façon que les provinces de l'hémisphère sud. Pourquoi pas... Mais il faudra laisser derrière soit "son club" pour soutenir son équipe régionale...
Pourquoi crié au Loup, aujourd’hui tout le monde le sais sans argent rien n’est possible. Le rugby est depuis longtemps synonyme de Sud-ouest, même si je suis savoyard. Mais aujourd’hui grâce à l’argent des villes comme Lyon, Saint Etienne, La Rochelle, Marseille pointe le bout de leurs nez. Tous cette argent hausse le niveau des divisions amateur, augmente donc les niveaux supérieurs. Aujourd’hui l’argent du le rugby français nous permet peut être d’avoir 3 équipe française finaliste dans les 2 compétitions européennes, et une équipe de France au top en ce moment. Faut t’il tirer la sonnette d’alarme (ce qui est trop tard). Il faut trouver un juste milieu, quand je vois que des joueurs de réserves honneur sont payé, même en série est-ce normale ? Mais maintenant n’est pas la le rugby de nos jour ? Le plus important je pense est de garder nos valeurs qui nous sont si cher a tous. Amitié, Respect, Tradition.
J&B14 a écrit :Pourquoi crié au Loup, aujourd’hui tout le monde le sais sans argent rien n’est possible. Le rugby est depuis longtemps synonyme de Sud-ouest, même si je suis savoyard. Mais aujourd’hui grâce à l’argent des villes comme Lyon, Saint Etienne, La Rochelle, Marseille pointe le bout de leurs nez. Tous cette argent hausse le niveau des divisions amateur, augmente donc les niveaux supérieurs. Aujourd’hui l’argent du le rugby français nous permet peut être d’avoir 3 équipe française finaliste dans les 2 compétitions européennes, et une équipe de France au top en ce moment. Faut t’il tirer la sonnette d’alarme (ce qui est trop tard). Il faut trouver un juste milieu, quand je vois que des joueurs de réserves honneur sont payé, même en série est-ce normale ? Mais maintenant n’est pas la le rugby de nos jour ? Le plus important je pense est de garder nos valeurs qui nous sont si cher a tous. Amitié, Respect, Tradition.
Les valeurs ne feront pas le poids face aux intérêts et ça a déjà commencé! Le rugby qu'on a connu est fichu!
Marseille a le Foot en tête et cela occasionne des retards à l'allumage pour qu'une équipe Pro s'installe à Marseille . Par contre , Aix compte 140 000 habitants et sa communauté d'agglo 400 000 , il y a de la place pour une équipe en PRO et largement car cette communauté d'agglo recouvre de grandes zones industrielle ou commerciales telles que Plan de Campagne ou la Pioline, les zones industrielles de Vitrolles et des Milles , la silicon vallée française dans la zone de Rousset. Il y a de quoi faire dans ce secteur pour faire perdurer une équipe en PRO
LE BABU a écrit :christophe34500 a écrit :tu as raison ton analyse est juste cela rejoint une discussion sur le forum intitulé les dés sont pipés cela va devenir tres compliqué et tres difficile certains présidents de club du 14 disent qu il ne peut y avoir de club de rugby dans les petites villes (ex Pérez Montpellier) - a t il raison tort ? ce qui aime le rugby l aime pour ces valeurs et cette "fraternité" qui existe entre deux clochers. Que serait Béziers sans Narbonne iiiiiiii et Biarritz sans Bayonne iiiii en fait en top 14 il y a tres peu de grandes villes.
Très peu de grandes villes dans le TOP14?????, j'aurai tout lu sur RF,la majorité des clubs du T14 font partie d'agglos de plus de 100000 HABITANTS (PERPIGNAN.CLERMONT.TOULON.TOULOUSE.RACING. STADE FRANCAIS. MONTPELLIER. communauté (BAYONNE ANGLET BIARRITZ) QUI se touchent, 115000H, BRIVE quasi 95000h avec malemort, ET AVEC TULLE a coté presque 120000h donc SEUL bourgoin ,montauban,castres et albi en agglomération, ont moins de 100000H et peuvent être considérées comme de "petites villes".Donc désolé raisonnt totalt faux ,en TOP14 ,c'est bien en effet le RUGBY des grandes villes!C'est d'ailleurs très logique avec la course a l'armement qui y règne.
Vu comme cela tu as raison mais en prenant Brive Bayonne et Biarrite comme "petite ville" cela fait 7 contre 7 moitié moitié
C'est pas une question de taille, c'est une question de potentiel économique. Tu peux avoir une petite ville avec énormément d'entreprises, et un gros paté avec une entreprise qui fait vivre toute la ville. Quelle est le plus risqué ?
christophe34500 a écrit :Vu comme cela tu as raison mais en prenant Brive Bayonne et Biarrite comme "petite ville" cela fait 7 contre 7 moitié moitié
Plus important que de considérer ces villes comme petites ou grandes, ce sont les tendances qui importent.
Et là, ça va inéluctablement dans le sens des grosses agglomérations avec par exemple les montées en puissance de Marseille, Nice, Lyon, et peut-être un peu plus tard de Lille, ou autre. Voyez également les évolutions comparées sur 20 ans de Montpellier et Béziers...
Or le rythme s'accélère... globalement pour le rugby pro
Les terroirs traditionnels de rugby pourront probablement s'en sortir avec des agglomérations moyennes (souvent en regroupement), alors qu'ailleurs ce ne sera que les plus grosses, mais le sort des petites me parait joué. Elle seront des partenaires et des annexes du/des gros de la même région.
Bien sur cela prendra 5 ou plutôt 10 ans... et même si ça ne porte pas ce nom là, nous aurons nos provinces... 4 très grandes provinces (jouant à l'échelle européenne), des grandes provinces en D1 et des"moyennes" en D2, et un total ne dépassant pas 30 ou 32 équipes.
et plein d'équipes fédérales ... il n'y a pas de honte à ça 
Content de te retrouver AAA et là 100% d'accord avec toi. Pour info, par compte rendu préparatoire de la DANCG, 14 clubs sont en difficulutés financières cette saison. Ils sont épinglés et devront rendre des comptes (hors prêt et étalement de la dette) avant le congrès.
aav a écrit :si on continu, ce journal va bientot devenir une chronique judiciaire ou économique. Pas une année sans des gestions catastrophiques. On va pas nous laisser croire que la situation de chalon vient d'apparaitre. On a laissé faire dans l'espoir qu'ils se qualifient et trouvent des sponsors pour combler les trous. L'echec de dimanche dernier a enclanché le processus classique: pas de qualification on lache le RCC. La gestion des clubs de la FFR n'a t elle pas sa part de responsabilité ? entre bourgoin qui cherche de l'argent toute la saison et se sauve à l'arrache. Montauban qui craque dans la derniere ligne droite .bourg il y a deux ans chalon cette année et surement d'autres.ces championnats ne riment a plus rien. Les reglent sont allegrement baffoués. Le rugby pro est allé trop vite, je crains que ce soit le rugby amateur qui en fasse les frais
Et les clubs d'honneur qui ont les yeux plus gros que le ventre, on fait de la prévention!!!;););) tu vas sur ce lien et là tu te demandes si il n'y a pas un problème, et si certains présidents sont normaux!! d'autant que le club en question n'en est pas a son premier coup et a déjà eu des problèmes trés récurrents il y a quelques saisons!!!;););)
Provinces, regroupements, jumelages, fusions et tout ce que vous voudrez, OK pour les joueurs et les dirigeants de ces usines à rugby pro, mais une partie du public ne suivra pas, trop attaché à son club historique ou à celui de sa famille (le rugby est un des sports où la généalogie est le mieux représentée avec peu de branches sans bonne descendance). Quant aux petits clubs réservoirs ou pépinières des gros, sans la carotte d'une montée viable aux échelons supérieurs, je les vois mal barrés... Néanmoins je plussoie quant à l'évolution que vous décrivez, mais avec beaucoup d'amertume.:/
A mon avis, celui d'un ancien joueur de groupe A (oui je suis vieux) aujourd'hui superviseur/recruteur, le vrai probleme pour revenir au sujet du topic n'est pas que le rugby pro soit allé trop vite mais plutôt que des clubs semi-pro veullent devenir trop vite pro sans avoir les structures adéquates, quelles soient sportives ou financieres. A Chalon, puisque c'est le gros dossier de la semaine, ils ont apparement basé leurs dépenses sur leur potentielle accession en D2 ce qui aurait eu pour effet de nettoyer le passif financier grace aux apports de la LNR (TV...etc...) Là il y a un probleme de gestion. La potentialité économique des bassins est hyper importante comme le dit Olivier. Par exemple il y a une réelle différence économique entre la région Chalonnaise et l'axe Aix-Marseille-Toulon, ou trois clubs de niveaux pros peuvent se developper et potentiellement perdurer et se stabiliser au niveau D2 et Top. Marseille a toutefois un deficit de structures. Le rugby pro va vers les grandes villes et là ou il n'y avait que peu de rugby pro (ou plus du tout depuis des années) des projets fleurissent: Le LOU en D2, St Etienne, Marseille et Nice en F1 en sont de bons exemples et vont prendre a coups sur de plsu en plus de place sur l'echiquier. Béziers, a contrario, s'est paupérisée ces dernieres saisons et même si ca ne peut que deplaire aux aficionados de ce merveilleux club (dont je fais parti), la remontée va être difficile du fait que les fonds vont se raréfier dans les alentours. Surtout si Carca monte. Peut on pour autant repprocher aux dirigeants de clubs comme Chalon d'avoir tenté ? Bien entendu mais dans un sens, quelle aurait été la réaction des supporters devant des dirigeants peu ambitieux ? Je terminerai sur un point que vous evoquez souvent qui est la formation. Je suis ok avec l'intervenant qui ecrit que Nallet and co n'ont pas été entierement formés a Bourgoin. Mais à l'avenir ça sera de moins en moins vrai car les petits partiront de plus en plus jeune et les clubs pros recruteront de plus en plus de "physiques", peu importe le niveau de jeu, car ils ont (ou auront) les structures de formations pour leur apprendre a jouer comme eux veullent qu'ils jouent. Ex: A Toulon lors des detections cadets, les n°9 de moins de 70Kgs sont automatiquement recallés. Je ne dis pas que c'est bien attention, mais que c'est l'evolution du rugby pro. Au rugby amateur de savoir rester amateur ou alors de se donner les vrais armes pour devenir pros. Amitiés sportives Oliversson
oliversson a écrit :A mon avis, celui d'un ancien joueur de groupe A (oui je suis vieux) aujourd'hui superviseur/recruteur, le vrai probleme pour revenir au sujet du topic n'est pas que le rugby pro soit allé trop vite mais plutôt que des clubs semi-pro veullent devenir trop vite pro sans avoir les structures adéquates, quelles soient sportives ou financieres. A Chalon, puisque c'est le gros dossier de la semaine, ils ont apparement basé leurs dépenses sur leur potentielle accession en D2 ce qui aurait eu pour effet de nettoyer le passif financier grace aux apports de la LNR (TV...etc...) Là il y a un probleme de gestion. La potentialité économique des bassins est hyper importante comme le dit Olivier. Par exemple il y a une réelle différence économique entre la région Chalonnaise et l'axe Aix-Marseille-Toulon, ou trois clubs de niveaux pros peuvent se developper et potentiellement perdurer et se stabiliser au niveau D2 et Top. Marseille a toutefois un deficit de structures. Le rugby pro va vers les grandes villes et là ou il n'y avait que peu de rugby pro (ou plus du tout depuis des années) des projets fleurissent: Le LOU en D2, St Etienne, Marseille et Nice en F1 en sont de bons exemples et vont prendre a coups sur de plsu en plus de place sur l'echiquier. Béziers, a contrario, s'est paupérisée ces dernieres saisons et même si ca ne peut que deplaire aux aficionados de ce merveilleux club (dont je fais parti), la remontée va être difficile du fait que les fonds vont se raréfier dans les alentours. Surtout si Carca monte. Peut on pour autant repprocher aux dirigeants de clubs comme Chalon d'avoir tenté ? Bien entendu mais dans un sens, quelle aurait été la réaction des supporters devant des dirigeants peu ambitieux ? Je terminerai sur un point que vous evoquez souvent qui est la formation. Je suis ok avec l'intervenant qui ecrit que Nallet and co n'ont pas été entierement formés a Bourgoin. Mais à l'avenir ça sera de moins en moins vrai car les petits partiront de plus en plus jeune et les clubs pros recruteront de plus en plus de "physiques", peu importe le niveau de jeu, car ils ont (ou auront) les structures de formations pour leur apprendre a jouer comme eux veullent qu'ils jouent. Ex: A Toulon lors des detections cadets, les n°9 de moins de 70Kgs sont automatiquement recallés. Je ne dis pas que c'est bien attention, mais que c'est l'evolution du rugby pro. Au rugby amateur de savoir rester amateur ou alors de se donner les vrais armes pour devenir pros. Amitiés sportives Oliversson
Bien d'accord, c'est pourquoi j'évoquais la difficulté à survivre des petits clubs dépouillés et sans horizon attrayant (les accession stories ont quand même été le moteur principal de ces petis clubs depuis la nuit des temps).
olivier a écrit :C'est pas une question de taille, c'est une question de potentiel économique. Tu peux avoir une petite ville avec énormément d'entreprises, et un gros paté avec une entreprise qui fait vivre toute la ville. Quelle est le plus risqué ?
Non la population est le résultat d'une activité économique et justement parceque les grosses villes sont bien desservies en axe routiers les industriel s'y implantent,de plus les petites villes qui avaient la chance d'avoir deux ou 3 boites qui tournaient bien sont touchées de plein fouet par la crise alors que les plus grosses avec un tissu economique plus large et diversifié s'en sortent bcp mieux. Une ville de 20000 h n'aura jamais les infrastructures et le potentiel économique d'une de 100000h sinon la réalité en 2010 serait toute autre.
Dernière modification par LE BABU (30/05/2010 20:41:37)
Faux, Tu as des villes de 100 000 ha avec une économie désastreuse et des villes de 50 000 ha beaucoup plus riches.