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Attention : retrouvez les sujets de vos équipes préférées dans le forum clubs.

Nous allons faire évoluer les forums jusqu'au mois de septembre afin de les rendre plus interactifs.

Fédérale 1

US ORTHEZ 2010/ 2011

#267

moi aussi j'en ai une: Trois femmes, une basque, une béarnaise et une africaine accouchent lemême jour. Une infirmière, très embêtée, va voir les trois pères morts d'inquiétude et leur explique que tout c'est bien passe mais qu'ils ont un petit problème informatique et qu'ils ne savent plus à qui appartiennent les trois bébés. Elle leur demande donc d'entrer dans la salle où se reposent les nouveau-nés et de reconnaître chacun le sien. A ce moment-là, le basque se jette sur le bébé noir en disant: "celui-là, c'est le mien, je le reconnais, c'est tout à fait moi" En se disant, tout bas: "au moins, je suis sur de ne pas me choper le béarnais elle est pas mal hein?

ou est patrick?on attent pas patrick? Pastis par temps bleue pastis délicieux...Pastis par temps de pluie pastis quand meme

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#268

maxou a écrit :

je pense que tous les béarnais apprecieront et j'espere que tous les mauléonais la comprendront enfin cela j'en doute bonne lecture Trois femmes, une basque, une béarnaise et une africaine accouchent lemême jour. Une infirmière, très embêtée, va voir les trois pères morts d'inquiétude et leur explique que tout c'est bien passe mais qu'ils ont un petit problème informatique et qu'ils ne savent plus à qui appartiennent les trois bébés. Elle leur demande donc d'entrer dans la salle où se reposent les nouveau-nés et de reconnaître chacun le sien. A ce moment-là, le Béarnais se jette sur le bébé noir en disant: "celui-là, c'est le mien, je le reconnais, c'est tout à fait moi" En se disant, tout bas: "au moins, je suis sur de ne pas me choper le basque

Excellente !! big_smile

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Site du forum du FCL XV :

#269

one again... a écrit :

moi aussi j'en ai une: Trois femmes, une basque, une béarnaise et une africaine accouchent lemême jour. Une infirmière, très embêtée, va voir les trois pères morts d'inquiétude et leur explique que tout c'est bien passe mais qu'ils ont un petit problème informatique et qu'ils ne savent plus à qui appartiennent les trois bébés. Elle leur demande donc d'entrer dans la salle où se reposent les nouveau-nés et de reconnaître chacun le sien. A ce moment-là, le basque se jette sur le bébé noir en disant: "celui-là, c'est le mien, je le reconnais, c'est tout à fait moi" En se disant, tout bas: "au moins, je suis sur de ne pas me choper le béarnais elle est pas mal hein?

Regarde en haut.....

#270

relis bien

ou est patrick?on attent pas patrick? Pastis par temps bleue pastis délicieux...Pastis par temps de pluie pastis quand meme

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#271

C'est l'histoire de 4 clubs qui descendent en fédérale 2...

#272

NAGALA a écrit :
one again... a écrit :

moi aussi j'en ai une: Trois femmes, une basque, une béarnaise et une africaine accouchent lemême jour. Une infirmière, très embêtée, va voir les trois pères morts d'inquiétude et leur explique que tout c'est bien passe mais qu'ils ont un petit problème informatique et qu'ils ne savent plus à qui appartiennent les trois bébés. Elle leur demande donc d'entrer dans la salle où se reposent les nouveau-nés et de reconnaître chacun le sien. A ce moment-là, le basque se jette sur le bébé noir en disant: "celui-là, c'est le mien, je le reconnais, c'est tout à fait moi" En se disant, tout bas: "au moins, je suis sur de ne pas me choper le béarnais elle est pas mal hein?

Regarde en haut.....

tu n'as pas compris que la tienne n'était pas bonne et il n'a pas rit. tu l'as mal raconté aussi ,tu pourrais t"appliquer, et il ne t'a pas cru pour le petit bébé noir en plus

LE SOURIRE C'EST COMME LES ESSUIS GLACES CELA NE PERMET PAS D'ARRETER DE PLEUVOIR MAIS CELA PERMET D'AVANCER

#273

maxou a écrit :
NAGALA a écrit :
one again... a écrit :

moi aussi j'en ai une: Trois femmes, une basque, une béarnaise et une africaine accouchent lemême jour. Une infirmière, très embêtée, va voir les trois pères morts d'inquiétude et leur explique que tout c'est bien passe mais qu'ils ont un petit problème informatique et qu'ils ne savent plus à qui appartiennent les trois bébés. Elle leur demande donc d'entrer dans la salle où se reposent les nouveau-nés et de reconnaître chacun le sien. A ce moment-là, le basque se jette sur le bébé noir en disant: "celui-là, c'est le mien, je le reconnais, c'est tout à fait moi" En se disant, tout bas: "au moins, je suis sur de ne pas me choper le béarnais elle est pas mal hein?

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tu n'as pas compris que la tienne n'était pas bonne et il n'a pas rit. tu l'as mal raconté aussi ,tu pourrais t"appliquer, et il ne t'a pas cru pour le petit bébé noir en plus

Bon les gars, du calme! Parlons de Rugby, mais surtout pas de Maule....;) Je plaisante, c'est ouvert pour tous! L'USO, comme je le disais plus haut, est une équipe qui mérite mieux et j'espère que leurs déclic va permettre de remonter pour sortir de la zone rouge.

#274

chouchouloulou a écrit :

Ben voilà avec un staff plus humble et surtout plus humain, joueurs, supporters et même spectateurs retrouvent le stade avec plaisir, et la victoire n'en est que plus savoureuse. Quelque soit l'issue, et avec ces changements tardifs, gageons que l'avenir soit plus serein avec ue équipe proche à nouveau de ses supporters. Bravo à la B qui en terre hostile remporte une victoire précieuse.

Tu peux me dire ce qu'il y avait d'hostile pour la B

#275

COMME TOUT LE MONDE LE SAIT LA SOULE EST UNE PLATE FORME DE LA TECHNOLOGIE MONDIALE.ENCORE UNE PREUVE...... MAULEON à la pointe de la technologie : Dans le cadre de fouilles dans le sous-sol russe jusqu'à 100m de profondeur, les scientifiques russes ont trouvé des vestiges de fil de cuivre qui datait d'environ 1000 ans. Par provocation les Russes en ont conclu publiquement que leurs ancêtres disposaient déjà il y a 1000 ans d'un réseau de téléphone en fil de cuivre. Les Américains, pour faire bonne mesure, ont également procédé à des fouilles dans leur sous-sol jusqu'à une profondeur de 200m. Ils y ont trouvé des restes de fibre de verre. Il s'est avéré qu'elles avaient environ 2000 ans. Les Américains en ont conclu que leurs ancêtres disposaient déjà il y a 2000 ans d'un réseau de fibre de verre numérique. Et cela, 1000 ans avant les Russes! Une semaine plus tard, à MAULEON, on a publié le communiqué suivant :"Suite à des fouilles dans le sous-sol de la vallée de la soule jusqu'à une profondeur de 500m, les scientifiques mauléonais n'ont rien trouvé du tout. Ils en concluent que dans la Soule, on disposait déjà il y a 5000 ans d'un réseau Wifi."

Dernière modification par maxou (14/12/2010 16:16:57)

LE SOURIRE C'EST COMME LES ESSUIS GLACES CELA NE PERMET PAS D'ARRETER DE PLEUVOIR MAIS CELA PERMET D'AVANCER

#276

extrait d'un article de la republique des pyrénées Accident de travail pour un couvreur MAULEONAIS Monsieur l'assureur, Je vous écris en réponse a la demande d'informations complémentaires concernant mon accident de travail du 8 novembre dernier. J'ai précisé: "manque de chance" dans la case réservée aux "causes du sinistre" et vous me demandez des précisions. je suis couvreur de formation. Le jour de l'accident, je travaillais seul sur le toit d'un immeuble de 6 étages. Une fois le travail terminé, cet après-midi-là, j'ai constaté qu'il restait environ 280 tuiles, ce qui représente un poids de près de 120 Kg. Plutôt que de descendre les tuiles a la main, j'ai décidé de les placer dans un monte-charge manuel qui fonctionnait grâce a une poulie fixée au 6e étage. J'ai donc chargé les tuiles dans la caisse du monte-charge sur le toit et suis redescendu au bas de l'immeuble pour procéder à la descente du chargement. Je tenais fermement la corde pour assurer la sécurité de cette manoeuvre. Comme vous le noterez dans mon fichier médical ci-joint, mon poids est actuellement de 68 Kg. Des que le monte-charge s'est retrouvé suspendu en l'air, j'ai été irrésistiblement attiré vers le haut et, je le reconnais, n'ai pas eu la présence d'esprit de lâcher la corde. J'ai donc progressé à grande vitesse vers le haut de l'immeuble et, au niveau du troisième étage, j'ai rencontré le monte-charge qui, lui, progressait à la même vitesse en sens inverse. Cela explique la fracture du crâne que je vous ai mentionnée dans mon courrier précèdent. Mon ascension s'est toutefois ralentie au niveau du 6e étage et s'est arrêtée lorsque mon index et mon majeur se sont retrouvés coincés dans la poulie. Cela détaille les nombreuses fractures de ma main droite que j'avais mentionnées. Suspendu en l'air et malgré la douleur intense, je n'ai pas lâché prise. Mais au même moment, le monte-charge percuta le sol à vive allure, ce qui brisa net le fond de la caisse. Toutes les briques éclatèrent et se répandirent sur le sol. Le monte-charge endommagé pesait à présent environ 20 Kg, si bien que, comme je tenais toujours fermement la corde, j'ai commencé une rapide descente vers le bas. Au niveau du troisième étage, comme vous l'imaginez, j'ai rencontré le monte-charge à très grande vitesse, ce qui explique les quatre dents cassées et les deux côtes enfoncées que je vous ai reportées précédemment. Cette percussion du monte-charge a toutefois ralenti quelque peu ma descente si bien que mon atterrissage sur le tas de tuiles brisées ne m'a causé qu'une simple fracture du genou. Le fait que je ne mentionne nulle part dans ce rapport la cause exacte de l'enfoncement de la cage thoracique que j'ai pourtant déclaré dans ma lettre précédente ne vous aura sans doute pas échappé. J'ai en effet le regret de vous informer que me retrouvant ainsi étendu sur un tas de tuiles brisées avec de multiples fractures, je n'ai pas eu la présence d'esprit de tenir la corde quelques secondes de plus. J'étais donc dans l'incapacité totale de bouger lorsque le monte-charge de 20 Kg a entamé sa rapide descente... Très cordialement. il a vraiment pas eu de chance ce pauvre MAULEONAIS

Dernière modification par maxou (14/12/2010 16:16:25)

LE SOURIRE C'EST COMME LES ESSUIS GLACES CELA NE PERMET PAS D'ARRETER DE PLEUVOIR MAIS CELA PERMET D'AVANCER

#277

maxou a écrit :

extrait d'un article de la republique des pyrénées Accident de travail pour un couvreur MAULEONAIS Monsieur l'assureur, Je vous écris en réponse a la demande d'informations complémentaires concernant mon accident de travail du 8 novembre dernier. J'ai précisé: "manque de chance" dans la case réservée aux "causes du sinistre" et vous me demandez des précisions. je suis couvreur de formation. Le jour de l'accident, je travaillais seul sur le toit d'un immeuble de 6 étages. Une fois le travail terminé, cet après-midi-là, j'ai constaté qu'il restait environ 280 tuiles, ce qui représente un poids de près de 120 Kg. Plutôt que de descendre les tuiles a la main, j'ai décidé de les placer dans un monte-charge manuel qui fonctionnait grâce a une poulie fixée au 6e étage. J'ai donc chargé les tuiles dans la caisse du monte-charge sur le toit et suis redescendu au bas de l'immeuble pour procéder à la descente du chargement. Je tenais fermement la corde pour assurer la sécurité de cette manoeuvre. Comme vous le noterez dans mon fichier médical ci-joint, mon poids est actuellement de 68 Kg. Des que le monte-charge s'est retrouvé suspendu en l'air, j'ai été irrésistiblement attiré vers le haut et, je le reconnais, n'ai pas eu la présence d'esprit de lâcher la corde. J'ai donc progressé à grande vitesse vers le haut de l'immeuble et, au niveau du troisième étage, j'ai rencontré le monte-charge qui, lui, progressait à la même vitesse en sens inverse. Cela explique la fracture du crâne que je vous ai mentionnée dans mon courrier précèdent. Mon ascension s'est toutefois ralentie au niveau du 6e étage et s'est arrêtée lorsque mon index et mon majeur se sont retrouvés coincés dans la poulie. Cela détaille les nombreuses fractures de ma main droite que j'avais mentionnées. Suspendu en l'air et malgré la douleur intense, je n'ai pas lâché prise. Mais au même moment, le monte-charge percuta le sol à vive allure, ce qui brisa net le fond de la caisse. Toutes les briques éclatèrent et se répandirent sur le sol. Le monte-charge endommagé pesait à présent environ 20 Kg, si bien que, comme je tenais toujours fermement la corde, j'ai commencé une rapide descente vers le bas. Au niveau du troisième étage, comme vous l'imaginez, j'ai rencontré le monte-charge à très grande vitesse, ce qui explique les quatre dents cassées et les deux côtes enfoncées que je vous ai reportées précédemment. Cette percussion du monte-charge a toutefois ralenti quelque peu ma descente si bien que mon atterrissage sur le tas de tuiles brisées ne m'a causé qu'une simple fracture du genou. Le fait que je ne mentionne nulle part dans ce rapport la cause exacte de l'enfoncement de la cage thoracique que j'ai pourtant déclaré dans ma lettre précédente ne vous aura sans doute pas échappé. J'ai en effet le regret de vous informer que me retrouvant ainsi étendu sur un tas de tuiles brisées avec de multiples fractures, je n'ai pas eu la présence d'esprit de tenir la corde quelques secondes de plus. J'étais donc dans l'incapacité totale de bouger lorsque le monte-charge de 20 Kg a entamé sa rapide descente... Très cordialement. il a vraiment pas eu de chance ce pauvre MAULEONAIS

Tu es vraiment un grand comique toi

#278

maxou a écrit :

extrait d'un article de la republique des pyrénées Accident de travail pour un couvreur MAULEONAIS Monsieur l'assureur, Je vous écris en réponse a la demande d'informations complémentaires concernant mon accident de travail du 8 novembre dernier. J'ai précisé: "manque de chance" dans la case réservée aux "causes du sinistre" et vous me demandez des précisions. je suis couvreur de formation. Le jour de l'accident, je travaillais seul sur le toit d'un immeuble de 6 étages. Une fois le travail terminé, cet après-midi-là, j'ai constaté qu'il restait environ 280 tuiles, ce qui représente un poids de près de 120 Kg. Plutôt que de descendre les tuiles a la main, j'ai décidé de les placer dans un monte-charge manuel qui fonctionnait grâce a une poulie fixée au 6e étage. J'ai donc chargé les tuiles dans la caisse du monte-charge sur le toit et suis redescendu au bas de l'immeuble pour procéder à la descente du chargement. Je tenais fermement la corde pour assurer la sécurité de cette manoeuvre. Comme vous le noterez dans mon fichier médical ci-joint, mon poids est actuellement de 68 Kg. Des que le monte-charge s'est retrouvé suspendu en l'air, j'ai été irrésistiblement attiré vers le haut et, je le reconnais, n'ai pas eu la présence d'esprit de lâcher la corde. J'ai donc progressé à grande vitesse vers le haut de l'immeuble et, au niveau du troisième étage, j'ai rencontré le monte-charge qui, lui, progressait à la même vitesse en sens inverse. Cela explique la fracture du crâne que je vous ai mentionnée dans mon courrier précèdent. Mon ascension s'est toutefois ralentie au niveau du 6e étage et s'est arrêtée lorsque mon index et mon majeur se sont retrouvés coincés dans la poulie. Cela détaille les nombreuses fractures de ma main droite que j'avais mentionnées. Suspendu en l'air et malgré la douleur intense, je n'ai pas lâché prise. Mais au même moment, le monte-charge percuta le sol à vive allure, ce qui brisa net le fond de la caisse. Toutes les briques éclatèrent et se répandirent sur le sol. Le monte-charge endommagé pesait à présent environ 20 Kg, si bien que, comme je tenais toujours fermement la corde, j'ai commencé une rapide descente vers le bas. Au niveau du troisième étage, comme vous l'imaginez, j'ai rencontré le monte-charge à très grande vitesse, ce qui explique les quatre dents cassées et les deux côtes enfoncées que je vous ai reportées précédemment. Cette percussion du monte-charge a toutefois ralenti quelque peu ma descente si bien que mon atterrissage sur le tas de tuiles brisées ne m'a causé qu'une simple fracture du genou. Le fait que je ne mentionne nulle part dans ce rapport la cause exacte de l'enfoncement de la cage thoracique que j'ai pourtant déclaré dans ma lettre précédente ne vous aura sans doute pas échappé. J'ai en effet le regret de vous informer que me retrouvant ainsi étendu sur un tas de tuiles brisées avec de multiples fractures, je n'ai pas eu la présence d'esprit de tenir la corde quelques secondes de plus. J'étais donc dans l'incapacité totale de bouger lorsque le monte-charge de 20 Kg a entamé sa rapide descente... Très cordialement. il a vraiment pas eu de chance ce pauvre MAULEONAIS

Et ???? C'est bizarre mais ce qu'il manque à cette histoire c'est...la chute !!!

#279

sid a écrit :

tu sais FISTER NE, candau est critiqué parce que cet année il a fait des choix bizarre qui ont souvent déstabilisé son équipe a la mi-temps. PERTIOL, pour ce qui est de nos supporters qui critiquent nos joueurs, c'est surement vrai mais ceux de marius rodrigo que tu sites en exemple, n'ont pas toujours été aussi parfait que tu nous le dis. je me souvient entre autre d'un certain arrayet qui avant de jouer en pro jouait a mauléon ,il était un dieu vivant jusqu'au jour ou il a eu une saison sans. ce jour là, il n'était plus rien et je n'ose même pas te rappeler les critiques de tes supporters exemplaires. il est clair qu'aujourd'hui on ne peut pas comparer nos supporters, ni nos club, ni nos villes d'ailleurs qui n'ont plus rien a voir. allez l'union sportive orthézienne.

J'ai dit la pluspart des supporters pas tous et je considère que le type qui siffle ses propres joueurs est un spectateur et pas un supporter. Ceux qui ont critiqué bénat n'avaient pas grand chose dans la tête. C'est pas en tapant sur le buteur que les choses s'arrangent c'est certain. Espérons que mauléon ramène des points de l'extérieur car tout reste encore jouable. Pour ce qui est d'Orthez, même s'ils partent de loin rien n'est terminé non plus.Il faut se souvenir que morlaas était revenu de la même situation l'an dernier. Les joueurs ont l'air d'avoir plus d'envies et de mental.Bonne chance à eux mais je n'enlève rien à ce que j'ai dit sur une partie de leurs supporters tongue:P

#280

j aime bcp les blagues de maxou je trouve que cela leurs ressembles vraiment!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! lol

Fédérale 1