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Fédérale 1

VIEILLES COMBINES DU PASSE

#15

castagne07 a écrit :

Tu viens de l'avouer, la mauvaise réputation de La Seyne vient de ta génération, mais on s'en doutait bien lol:lol:

C'est vrai qu'on était pas des agneaux mais c"était partout pareil

Ma CAMILLE et moi,

#16

Depuis le début Mr l'arbi a écrit :

Moi j'ai vu un match reporté dans un club ou les employés municipaux avaient arrosés le terrain tout le samedi pour le déclarer impraticable lol:lol::lol:

J'ai connu une situation comparable, mais c'était pour embourber l'adversaire !! A Aurillac; lorsque un gros venait y jouer, les pompiers avaient "l'habitude" de faire un exercice incendie de sorte que la pelouse de J Alric était un champs de boue .. Vérité ou légende mais peu importe c'était un autre rugby !!!

#17

A Grasse, on fait tout a l'envers : il ya quelques saisons, un dirigeant ( adjoint au maire ) a fait pomper le terrain de perdigon par l'entreprise de nettoyage locale pour que les rencontres aient lieu ! je ne crois pas que c'est etait beaucoup plus efficace que l'armee de mamas zulus qui balayait le stade avanr ce memorable france afrique du sud ! je pense meme que c'etait contre la seyne.

si vous venez etudier en Ecosse, rejoignez Aberdeen Grammar FP Rugby Club !

#18

Les belles histoire de PapyGambi, et pendant ce temps là il neige et encore plus de rencontres sont reportées, le temps est donc une bien vieille histoire. Gambi super flic !!!!!!

#19

castagne07 a écrit :
Depuis le début Mr l'arbi a écrit :

Moi j'ai vu un match reporté dans un club ou les employés municipaux avaient arrosés le terrain tout le samedi pour le déclarer impraticable lol:lol::lol:

Précise ta pensée, qui est visé ?:)

Un club ou le terrain est en pente:lol::lol::lol:

L'alcool m'a fais vivre tellement de moments merveilleux...
dont je ne me souviens plus!!!

#20

Depuis le début Mr l'arbi a écrit :
castagne07 a écrit :
Depuis le début Mr l'arbi a écrit :

Moi j'ai vu un match reporté dans un club ou les employés municipaux avaient arrosés le terrain tout le samedi pour le déclarer impraticable lol:lol::lol:

Précise ta pensée, qui est visé ?:)

Un club ou le terrain est en pente:lol::lol::lol:

Au rugby, il y a plus de gosiers en pente que de terrain!;):D:D:D

#21

Anecdote rapportée par Jean-Louis, ancien joueur et dirigeant de La Seyne. Une guérison miraculeuse C'était le temps du championnat à 80 clubs, c'était le temps des gros pardessus, c'était le temps de l'éponge miracle, c'était le temps des mains courantes, c'était le temps où l'on criait "mark", les pieds plantés dans le sol pour un arrêt de volée. L'action se passe dans les "22" seynois. Pour enrayer la pression adverse le deuxième ligne de La Mecque réceptionne une chandelle mais, peu au fait des subtilités du jeu des arrières, oublie de crier "mark" pour valider son arrêt de volée. Le demi de mêlée seynois, malin comme tout numéro 9, rattrape la chose et pousse un tonitruant "mark" qui s'entend jusqu'à Fabrégas. L'arbitre, pas dupe, refuse l'arrêt de volée et provoque la contestation virulente du staff rouge et bleu qui explique que le joueur, muet de naissance, n'a pu annoncer son arrêt de volée, son demi de mêlée ne faisant que pallier un handicap bien gênant. Le referee fait preuve de mansuétude et accorde l'arrêt de volée. D'un magistral coup de pied notre deuxième ligne trouve une touche bienvenue. Alors, dans l'alignement, on entend un retentissant "c'est pour moi" révélateur d'une guérison miraculeuse.

#22

C'est exact, cette histoire est bien vraie et le joueur "muet" est toujours parmi nous, il s'appelle Caturégli, c'est un ami.

Ma CAMILLE et moi,

#23

Pour tous ceux qui connaissaient le regretté Michel Bernardin : Anecdote tirée du livre "1908-2008 : 100 ans de rugby à Saint-Nazaire" Match à l’extérieur. Le Sporting connaît une pénurie de 1ère lignes. James, habituel réserviste est désigné remplaçant à ce poste. Un pilier se blesse. Michel, qui connaît son règlement, lui chuchotte à l’oreille sa façon de voir les choses pour la suite du match au moment où James doit faire son entrée sur le terrain : « Tu donnes tout et à la première mêlée tu mets un genou au sol et tu sors blessé. Mêlées simulées. Imparable." L’action suivante se déroule. Mêlée. James la dispute. Reculade du Sporting. Furibard, Michel hurle : « James qu’est-ce qu’on a dit ?!?!? » Avant la mêlée suivante, James reste au sol, se tordant de douleurs bien sûr. Soulagement de Michel. Philippe , le doc’, n’écoutant que son cœur et son serment d’Hipocrate, et qui n’avait pas tout suivi à la subtilité de la stratégie mise en place, se précipite sur le terrain. Il prodigue les premiers soins à grand coups de palpations, bombes et éponge magique. Pour finir il remet le joueur sur pied pour qu’il reprenne le match et revient sur le banc en rassurant le coach : « C’est bon, il n’a rien. ». Michel incrédule lève les yeux au ciel.

Depuis Le Début ...

#24

Dans les années 60, bien qu'en 3ème division nous avions des déplacements lointains. Vizille, Montceau les mines, Villefranche SS, etc.....et comme les déplacements en car n'étaient pas à la mode nous partions la veille en train. Quelles comédies et parties de rigolade, les mecs étaient jobards. Le samedi soir tout le monde s'escapait pour aller soit au bistrot soit en boite de nuit et les dirigeants faisaient la police pour compter les fuyards. Dans le train il y a eu des histoires à chaque sortie, à Rumilly les gendarmes ont même retardé le train pour prendre le nom de quelques joueurs qui avaient saccagé un bistrot sur le chemin de la gare. Ces joueurs ont même été jugés et condamné à de belles amendes. Les incidents avec les gonzesses n'en parlons pas, certaines qui étaient gentilletts se faisaient presque violer mais d'autres qui filaient des calottes s'entendaient chanter la chanson "Va laver ton cul, salope" J'avoue que c'était pas bonnard et moi, tout jeune encore ça me faisait un peu peur.

Ma CAMILLE et moi,

#25

Gambistorti a écrit :

Dans les années 60, bien qu'en 3ème division nous avions des déplacements lointains. Vizille, Montceau les mines, Villefranche SS, etc.....et comme les déplacements en car n'étaient pas à la mode nous partions la veille en train. Quelles comédies et parties de rigolade, les mecs étaient jobards. Le samedi soir tout le monde s'escapait pour aller soit au bistrot soit en boite de nuit et les dirigeants faisaient la police pour compter les fuyards. Dans le train il y a eu des histoires à chaque sortie, à Rumilly les gendarmes ont même retardé le train pour prendre le nom de quelques joueurs qui avaient saccagé un bistrot sur le chemin de la gare. Ces joueurs ont même été jugés et condamné à de belles amendes. Les incidents avec les gonzesses n'en parlons pas, certaines qui étaient gentilletts se faisaient presque violer mais d'autres qui filaient des calottes s'entendaient chanter la chanson "Va laver ton cul, salope" J'avoue que c'était pas bonnard et moi, tout jeune encore ça me faisait un peu peur.

c'est l'époque où aucun resto n'acceptait les joueurs de rugy le dimanche soir sad

#26

phonse a écrit :

Anecdote rapportée par Jean-Louis, ancien joueur et dirigeant de La Seyne. Une guérison miraculeuse C'était le temps du championnat à 80 clubs, c'était le temps des gros pardessus, c'était le temps de l'éponge miracle, c'était le temps des mains courantes, c'était le temps où l'on criait "mark", les pieds plantés dans le sol pour un arrêt de volée. L'action se passe dans les "22" seynois. Pour enrayer la pression adverse le deuxième ligne de La Mecque réceptionne une chandelle mais, peu au fait des subtilités du jeu des arrières, oublie de crier "mark" pour valider son arrêt de volée. Le demi de mêlée seynois, malin comme tout numéro 9, rattrape la chose et pousse un tonitruant "mark" qui s'entend jusqu'à Fabrégas. L'arbitre, pas dupe, refuse l'arrêt de volée et provoque la contestation virulente du staff rouge et bleu qui explique que le joueur, muet de naissance, n'a pu annoncer son arrêt de volée, son demi de mêlée ne faisant que pallier un handicap bien gênant. Le referee fait preuve de mansuétude et accorde l'arrêt de volée. D'un magistral coup de pied notre deuxième ligne trouve une touche bienvenue. Alors, dans l'alignement, on entend un retentissant "c'est pour moi" révélateur d'une guérison miraculeuse.

on n'était pas obligé d'être dans les 22 et on pouvait botté direct en touche . le Rugby a évolué hereusement

#27

smile:):) Je me rappelle c'était mon premier match avec l'équipe 1ere et nous allions ce jour là à Béziers. Dès le coup d'envoi et sur le premier regroupement, alors que j'essayais de mettre les mains sur le ballon, j'entends une grosse voix me dire: " Petit, si tu veux durer longtemps et faire carrière, j'enlèverais les mains de là " J'ai enlevé les mains durant toute la partie et à la fin du match la grosse voix est venu me dire " Tu voix aujourd'hui tu peux dire que tu as été battu avec la langue" La grosse voix c'était Alain Esteve. smile:):)

Isole toi si tu veux, mais jamais seul.


#28

MONTAUBAN ?

Fédérale 1