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Nous allons faire évoluer les forums jusqu'au mois de septembre afin de les rendre plus interactifs.

Fédérale 1

Budgets, Performances, Relation?

#113

Tangogo a écrit :
thierry11 a écrit :

quel est la différence si je suis informaticien que je travaille la journée et le soir je vais travailler dans une association bénévolement, l'assoce ne me paye pas plus

Dans ce cas, tout le monde est "clean" et il n'y a aucune entorse à la législation. C'est d'ailleurs comme cela que ça devrait se passer en fédérale 1... ou tout au moins pour la majeur partie de l'effectif de toute équipe. Les contrats pros devraient être limité à un nombre restreint... et pour prouver que je ne suis pas chauvin je peux citer le cas du club que je supporte, le RC Chalon, avec ses 17 contrats pros... roll

ravachol a écrit :

si si, c' est le réchauffement climatique qui veut ça cool

wink

Tu sais ce qu'est la résistance au changement ? smile

- Supporters inconditionnels de l'Union Sportive Carcassonnaise. 

Fédérateurs de bonne intention.  Servir un club ce n'est pas s'en servir.

#114

thierry11 a écrit :
ravachol a écrit :
thierry11 a écrit :

Pour les assedics si c'était illégal depuis qu'on en parle ça ferait longtemps que beaucoup de monde serait épinglé, donc quelque part il doit y avoir des astuces pour que ce soit autorisé... si je ne me trompe pas, dans un club amateur seul l'argent des sponsors peut servir à rémunérer les joueurs, si c'est ça, et pour aller chercher de sponsors qui veulent bien "parrainé" des joueurs en F1 c'est mieux quand tu en a qui s'apellent Lomu, Labit Péclier que dupont et dupond

Pour les Assedic, il y a déjà eu des radiations dans plusieurs sports au motif bien simple : "impossibilité de faire cohabiter une recherche active et permanente d' emploi avec une activité sportive beaucoup trop contraignante" : il ne s' agit donc pas d' astuces pour y échapper mais de "petits arrangements entre amis" qui dureront ce qu' ils dureront. Pour les salaires il y a toute la collection des SAOS, SASP et autres gadgets, mais si la FFR a prévu l' association dans le contrat de travail type des joueurs et entraîneurs de F1, ce n' est pas pour des prunes : évident les sponsors sont libres d' employer qui bon leur semble encore faut-il que ça ne fasse pas trop de vagues dans leur boîte si c' est un emploi bidon.

tu considère donc qu'un gars qui n'est pas un ancien pro mais simplement un gars qui a perdu son boulot ne peut pas être au chomage et jouer en fédérale 1. et comment il fait donc le gars qui lui travaille toute la journée pour jouer ! donc finalement pour jouer en fédérale 1 il faut obligatoirement sacrifié tout le reste pour y arriver, finalement devenir pro quoi

Lorsque le club te demande de t entrainer 6 fois la semaine pendant les heures ouvrables,que veux tu faire comme boulot,gardien de nuit,meme les etudiants ne peuvent le faire,alors oui,les clubs marchent sur la tete,mais jusqu a quand,,,,

#115

juniorbis a écrit :
thierry11 a écrit :
ravachol a écrit :

Pour les Assedic, il y a déjà eu des radiations dans plusieurs sports au motif bien simple : "impossibilité de faire cohabiter une recherche active et permanente d' emploi avec une activité sportive beaucoup trop contraignante" : il ne s' agit donc pas d' astuces pour y échapper mais de "petits arrangements entre amis" qui dureront ce qu' ils dureront. Pour les salaires il y a toute la collection des SAOS, SASP et autres gadgets, mais si la FFR a prévu l' association dans le contrat de travail type des joueurs et entraîneurs de F1, ce n' est pas pour des prunes : évident les sponsors sont libres d' employer qui bon leur semble encore faut-il que ça ne fasse pas trop de vagues dans leur boîte si c' est un emploi bidon.

tu considère donc qu'un gars qui n'est pas un ancien pro mais simplement un gars qui a perdu son boulot ne peut pas être au chomage et jouer en fédérale 1. et comment il fait donc le gars qui lui travaille toute la journée pour jouer ! donc finalement pour jouer en fédérale 1 il faut obligatoirement sacrifié tout le reste pour y arriver, finalement devenir pro quoi

Lorsque le club te demande de t entrainer 6 fois la semaine pendant les heures ouvrables,que veux tu faire comme boulot,gardien de nuit,meme les etudiants ne peuvent le faire,alors oui,les clubs marchent sur la tete,mais jusqu a quand,,,,

Tous les clubs de Fédérale ne demandent pas autant d'entrainement. smile

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#116

c'est vrai que tout ça ressemble un peu à un château de cartes, mais du côté de chez nous, dans l'Aude que ce soit des châteaux en dur ou de cartes ils finissent toujours un jour ou l'autre par s'écrouler, donc on a pris l'habitude de profiter de l'instant présent car après on ne sait jamais comment ça va finir à chaque fois

#117

thierry11 a écrit :

c'est vrai que tout ça ressemble un peu à un château de cartes, mais du côté de chez nous, dans l'Aude que ce soit des châteaux en dur ou de cartes ils finissent toujours un jour ou l'autre par s'écrouler, donc on a pris l'habitude de profiter de l'instant présent car après on ne sait jamais comment ça va finir à chaque fois

Mais dans l'Aude quand nous entretenons nos châteaux ils savent aussi rester debout très longtemps, surtout ceux avec de gros remparts. wink

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#118

Jouer en F1, avec des indemnités de déplacement, n'est il pas en quelque sorte une recherche d'emploi active? Car s'exposer en F1, permet peut-être de retrouver un contrat en cours de saison ou la saison suivante. Imaginons un instant que Caminati, arrière de l'équipe de Nice ai du pointer aux assedics cette année, peut-être que cette année en F1 lui aurait permis de signer un contrat en top14? Si Aix se maintient ou Montauban, ne penseraient-ils à pas à embaucher un ouvreur de classe internationale, qui sans contrat à maintenu la forme en F1 cette saison? C'est des hypothèses, mais que proposer d'autres à des joueurs pro désormais au chômage? qu'ils jouent en 4ème série pour montrer leurs bonne foi...? La Fédérale 1 et la 2 dans une moindre mesure ont peut-être vocation (est il faut se faire à cette idée) d'être un viviers de jeunes prometteurs, d'anciens espoirs décevants (mais aptes à jouer a ce niveau), d'ex pro en rupture de contrat, et de vrai amateurs pensionnaires de leurs clubs depuis l'école de rugby..... mais ce qui est important c'est que la proportions d'ex pros ne dépasse pas une certaine limite de façon à ne pas pénaliser les clubs les plus amateurs.....

"Moi vaincu ! mon empire est brisé comme verre. Est-ce le châtiment cette fois, Dieu sévère ?» Alors parmi les cris, les rumeurs, le canon. Il entendit la voix qui lui répondait : Non !"  Victor Hugo

#119

Tout ça est vrai. On va alors relancer le débat sur la nécessité de créer une division "semi-pro" intermédiaire entre Fed 1 et proD2, ou bien de remodeler les divisions existantes... Rhhaaaaaa la prise de tête... ! smile

« En ces temps d'imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire » Georges Orwell

#120

renardsubtil a écrit :

Jouer en F1, avec des indemnités de déplacement, n'est il pas en quelque sorte une recherche d'emploi active? Car s'exposer en F1, permet peut-être de retrouver un contrat en cours de saison ou la saison suivante. Imaginons un instant que Caminati, arrière de l'équipe de Nice ai du pointer aux assedics cette année, peut-être que cette année en F1 lui aurait permis de signer un contrat en top14? Si Aix se maintient ou Montauban, ne penseraient-ils à pas à embaucher un ouvreur de classe internationale, qui sans contrat à maintenu la forme en F1 cette saison? C'est des hypothèses, mais que proposer d'autres à des joueurs pro désormais au chômage? qu'ils jouent en 4ème série pour montrer leurs bonne foi...? La Fédérale 1 et la 2 dans une moindre mesure ont peut-être vocation (est il faut se faire à cette idée) d'être un viviers de jeunes prometteurs, d'anciens espoirs décevants (mais aptes à jouer a ce niveau), d'ex pro en rupture de contrat, et de vrai amateurs pensionnaires de leurs clubs depuis l'école de rugby..... mais ce qui est important c'est que la proportions d'ex pros ne dépasse pas une certaine limite de façon à ne pas pénaliser les clubs les plus amateurs.....

Parfaitement d'accord. Le seule problème c'est le cas des clubs, tels Béziers cette année, qui descendent de D2 avec disons 30 contrats pro. Faudrait alors les obliger, pour rester dans le maxi de 5 à 7 qui me parait raisonnable, à casser les contrat de 10 à 15 joueurs (considérant que 8 sont en fin de contrat, et 5 à 10 qui veulent partir d'eux-même). Sauf si cela a été prévu d'entrée dans les contrats (il faut alors que ce soit une obligation des contrats pro) par une clause en cas de relégation Fed1, les coûts en prud'homme seraient exorbitants.

#121

ravachol a écrit :
renardsubtil a écrit :

Jouer en F1, avec des indemnités de déplacement, n'est il pas en quelque sorte une recherche d'emploi active? Car s'exposer en F1, permet peut-être de retrouver un contrat en cours de saison ou la saison suivante. Imaginons un instant que Caminati, arrière de l'équipe de Nice ai du pointer aux assedics cette année, peut-être que cette année en F1 lui aurait permis de signer un contrat en top14? Si Aix se maintient ou Montauban, ne penseraient-ils à pas à embaucher un ouvreur de classe internationale, qui sans contrat à maintenu la forme en F1 cette saison? C'est des hypothèses, mais que proposer d'autres à des joueurs pro désormais au chômage? qu'ils jouent en 4ème série pour montrer leurs bonne foi...? La Fédérale 1 et la 2 dans une moindre mesure ont peut-être vocation (est il faut se faire à cette idée) d'être un viviers de jeunes prometteurs, d'anciens espoirs décevants (mais aptes à jouer a ce niveau), d'ex pro en rupture de contrat, et de vrai amateurs pensionnaires de leurs clubs depuis l'école de rugby..... mais ce qui est important c'est que la proportions d'ex pros ne dépasse pas une certaine limite de façon à ne pas pénaliser les clubs les plus amateurs.....

dans le régime du contrat à durée indéterminée, après un licenciement économique, l' entreprise si elle réembauche doit donner priorité aux licenciés économiques : si les clubs avaient les mêmes obligations, il y aurait certainement moins de joueurs sur le carreau, mais ça ne peut passer qu' à travers la réforme du contrat à durée déterminée dans le domaine sportif qui est un cas de figure bien particulier.

Je connais pas de clubs qui font signer des CDI à leurs joueurs (pour mémoire le contrat à temps est un des grand acquis sociaux du sports professionnel, rappelle toi l'époque ou les footeux était les esclaves de leurs clubs qui les faisait jouer pour presque le SMIC et ce jusqu'a la fin de leurs carrières sportive). Mais entre 2 CDD, comment maintenir la forme et se montrer à d'éventuel employeurs? Quand à la reforme du CDD en sport pro n'y compte pas la commission européenne la refuserai pour entrave à la liberté du travail (arrêt Bosman...)

Dernière modification par renardsubtil (26/05/2010 10:42:09)

"Moi vaincu ! mon empire est brisé comme verre. Est-ce le châtiment cette fois, Dieu sévère ?» Alors parmi les cris, les rumeurs, le canon. Il entendit la voix qui lui répondait : Non !"  Victor Hugo

#122

ravachol a écrit :
renardsubtil a écrit :

Jouer en F1, avec des indemnités de déplacement, n'est il pas en quelque sorte une recherche d'emploi active? Car s'exposer en F1, permet peut-être de retrouver un contrat en cours de saison ou la saison suivante. Imaginons un instant que Caminati, arrière de l'équipe de Nice ai du pointer aux assedics cette année, peut-être que cette année en F1 lui aurait permis de signer un contrat en top14? Si Aix se maintient ou Montauban, ne penseraient-ils à pas à embaucher un ouvreur de classe internationale, qui sans contrat à maintenu la forme en F1 cette saison? C'est des hypothèses, mais que proposer d'autres à des joueurs pro désormais au chômage? qu'ils jouent en 4ème série pour montrer leurs bonne foi...? La Fédérale 1 et la 2 dans une moindre mesure ont peut-être vocation (est il faut se faire à cette idée) d'être un viviers de jeunes prometteurs, d'anciens espoirs décevants (mais aptes à jouer a ce niveau), d'ex pro en rupture de contrat, et de vrai amateurs pensionnaires de leurs clubs depuis l'école de rugby..... mais ce qui est important c'est que la proportions d'ex pros ne dépasse pas une certaine limite de façon à ne pas pénaliser les clubs les plus amateurs.....

dans le régime du contrat à durée indéterminée, après un licenciement économique, l' entreprise si elle réembauche doit donner priorité aux licenciés économiques : si les clubs avaient les mêmes obligations, il y aurait certainement moins de joueurs sur le carreau, mais ça ne peut passer qu' à travers la réforme du contrat à durée déterminée dans le domaine sportif qui est un cas de figure bien particulier.

oui mais est ce que c'est apparenté à un licenciement économique quand le club se sépare d'un joueur sous contrat, je ne suis pas si sûr car quand il y a rupture de contrat le joueur doit pouvoir faire quelque chose... dans le cas ou le club est en difficulté et qu'il se sépare de ses joueurs c'est rare qu'il ré embauche de suite derrière...

#123

Dans le lot des explications de budgets réduits -sans tricher-, j'avais oublié que même parmi les salariés non joueurs, il y a des temps partiels. Je ne citerai qu'un exemple: le manager de Saint-Étienne qui est également employé par la Fédé de Belgique. wink en outre ça doit lui permettre d'être rémunéré par d'autres pour superviser et éventuellement recruter winklol

#124

si vous voulez vraiment en savoir plus sur chomage rugby amteur rugby pro, il y a une discussion à ce sujet passionnante et instructive dans : rugby pro: transfert pro D2

Dernière modification par pascalb27 (26/05/2010 22:39:49)

#125

[size=15]Version finale Fed1 saison 2009/2010[/size] Pour les avertissements vis à vis des marges d'incertitudes voir moyenne de budget de Fed1 : 1 000 K€ moyenne de budget des clubs classés de 37 à 48 : 550 K€ moyenne de budget des clubs classés 25 à 36 Fed1 : 775 K€ moyenne de budget des clubs en PD : 660 K€ moyenne de budget des clubs finalistes des PD : 1 075 K€ La moyenne de budget de ces finalistes des PD est i) à peine inférieure à celle des finalistes du JP et donc, ii) largement supérieure à celle des clubs ayant disputé les PD. moyenne de budget des clubs classés de 13 à 24 : 1 110 K€ moyenne de budget des clubs classés de 1 à 12 : 1 540 K€ moyenne de budget des clubs classés de 1 à 8 : 1 750 K€ avec 1 très gros budget (Béziers > 4 M€), 2 petits (Tyrosse et Saint-Etienne 0,7 et 0,85M€), et 5 "gros moyens" entre 1,4 et 2 M€ moyenne de budget des clubs classés de 1 à 4 : 1 060 K€ - La moyenne baisse avec i) la qualification des 2 petits (Tyrosse et Saint-Etienne), et ii) l'élimination des plus gros budgets dont surtout Béziers - Curieusement la moyenne de budget des demi-finalistes est égale (à la marge d'incertitude près) à celle de toute le Fed1. En simplifiant et sans en tirer d'interprétation on peut constater que la phase qualificative avait éliminé essentiellement les petits budgets, que les barrages avaient amplifié la tendance, mais que les 1/4 ont éliminé les gros budgets. Restent deux petits et deux moyens pour se disputer l'accès à la finale et le droit à la ProD2. moyenne de budget des clubs classés 1 et 2 : 1 145 K€ La moyenne de budget des clubs ayant gagné -sportivement- le droit d'accès à la ProD2, est supérieure uniquement de 15% à la moyenne des budget de Fed1, et inférieure à celle des clubs ayant disputé le JP. Comme quoi l'argent ne fait pas tout, et semble t'il nettement moins qu'une équipe coach/entraineurs qui sait choisir son effectif et en faire une équipe de gagnants ; le duo de l'USC (Labit, Clavières) et le trio du CASE (McClintock, Bignat, Chaubaud) font incontestablement partie des tous meilleurs... c'est sympa de le constater et de leur rendre hommage ici dans ce sujet consacré au budget. Il convient quand même de relativiser cette "faible" moyenne des finalistes, en se souvenant que et l'USC et le CASE disposaient chacun de plusieurs joueurs ASSEDIC -même si ça ne retire rien à leur réussite sur le terrain-. moyenne de budget des clubs en JP : 1 325 K€ rapport de budget entre PlayDown et JP = presque 1 à 2 rapport de budget en relégués et phase finale = pratiquement 1 à 3 Budget moyen des clubs ayant terminé 1 ou 2 en phase préliminaire : 1 710 K€ Budget moyen des clubs ayant terminé 7 ou 8 en phase préliminaire : 425 K€ rapport de 1 à 4 !!!!

#126

papo a écrit :

[size=15]Version finale Fed1 saison 2009/2010[/size] Pour les avertissements vis à vis des marges d'incertitudes voir moyenne de budget de Fed1 : 1 000 K€ moyenne de budget des clubs classés de 37 à 48 : 550 K€ moyenne de budget des clubs classés 25 à 36 Fed1 : 775 K€ moyenne de budget des clubs en PD : 660 K€ moyenne de budget des clubs finalistes des PD : 1 075 K€ La moyenne de budget de ces finalistes des PD est i) à peine inférieure à celle des finalistes du JP et donc, ii) largement supérieure à celle des clubs ayant disputé les PD. moyenne de budget des clubs classés de 13 à 24 : 1 110 K€ moyenne de budget des clubs classés de 1 à 12 : 1 540 K€ moyenne de budget des clubs classés de 1 à 8 : 1 750 K€ avec 1 très gros budget (Béziers > 4 M€), 2 petits (Tyrosse et Saint-Etienne 0,7 et 0,85M€), et 5 "gros moyens" entre 1,4 et 2 M€ moyenne de budget des clubs classés de 1 à 4 : 1 060 K€ - La moyenne baisse avec i) la qualification des 2 petits (Tyrosse et Saint-Etienne), et ii) l'élimination des plus gros budgets dont surtout Béziers - Curieusement la moyenne de budget des demi-finalistes est égale (à la marge d'incertitude près) à celle de toute le Fed1. En simplifiant et sans en tirer d'interprétation on peut constater que la phase qualificative avait éliminé essentiellement les petits budgets, que les barrages avaient amplifié la tendance, mais que les 1/4 ont éliminé les gros budgets. Restent deux petits et deux moyens pour se disputer l'accès à la finale et le droit à la ProD2. moyenne de budget des clubs classés 1 et 2 : 1 145 K€ La moyenne de budget des clubs ayant gagné -sportivement- le droit d'accès à la ProD2, est supérieure uniquement de 15% à la moyenne des budget de Fed1, et inférieure à celle des clubs ayant disputé le JP. Comme quoi l'argent ne fait pas tout, et semble t'il nettement moins qu'une équipe coach/entraineurs qui sait choisir son effectif et en faire une équipe de gagnants ; le duo de l'USC (Labit, Clavières) et le trio du CASE (McClintock, Bignat, Chaubaud) font incontestablement partie des tous meilleurs... c'est sympa de le constater et de leur rendre hommage ici dans ce sujet consacré au budget. Il convient quand même de relativiser cette "faible" moyenne des finalistes, en se souvenant que et l'USC et le CASE disposaient chacun de plusieurs joueurs ASSEDIC -même si ça ne retire rien à leur réussite sur le terrain-. moyenne de budget des clubs en JP : 1 325 K€ rapport de budget entre PlayDown et JP = presque 1 à 2 rapport de budget en relégués et phase finale = pratiquement 1 à 3 Budget moyen des clubs ayant terminé 1 ou 2 en phase préliminaire : 1 710 K€ Budget moyen des clubs ayant terminé 7 ou 8 en phase préliminaire : 425 K€ rapport de 1 à 4 !!!!

BEAU BOULOT MAIS CETTE SAISON ETAIT UN PEU ATYPIQUE AVEC 2 DEMI FINALISTES QUI ETAIENT LOIN D ETRE DS LES POTENTIELS CITES..........CERTAINS CLUBS feraient bien d'analyser ce post car qd on voit le tir aux pigeonx de laxDNCG , ça devrait servir de leçon................et pourtant, la valse des mutations m'effrait un peu

Fédérale 1