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Attention : retrouvez les sujets de vos équipes préférées dans le forum clubs.
Nous allons faire évoluer les forums jusqu'au mois de septembre afin de les rendre plus interactifs.
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secondepompe a écrit :Les collectivites!!!!!! Parlons- en LES gens quelles emploient souvent en font pour l'argent,c'est a celui qui en fera le moins - Faites moi rire!!!!!!!!
+1
Fallières, Chaput et Lozupone sont partis de Montluçon pour répondre à l'appel des sirènes
Mieux vaux tenir que courrir.....
L'herbe est toujours plus verte ailleurs
J'en passe et des meilleurs
A méditer ![]()
Dernière modification par grototo (06/12/2012 18:56:36)
Trouvé sur le topic de La Seyne Cliquez sur le lien
Je dis pas que des betises ....voir mon post plus haut...
Les mecs yzont lu tes conneries sur le forum et ylézont repris... C'est çà le journalisme d'investigation ! ![]()
Je vois déjà les vautours planer au dessus de l animal blessé, aux premiers signes de faiblesses....
cricri12 a écrit :une aide pour le sra pétition en ligne
Souvenons nous que nous avons connu il y a une quinzaine d'années le même cas de difficulté et ça nous a servi de leçon. On avait même été rétrogradés.
La communication du Président me semble juste. Son courage et celui de son équipe de dirigeants méritent de l'aide.
Juste pour un petit mot de soutien aux blessés, notamment à Cyril MONTET, blessé trop tôt dans la saison, touché à l'épaule, et qui n'a pas pu montrer ce qu'il pouvait apporter au groupe, et à Dimitri THERON blessé en début de saison à l'épaule lui aussi, revenu après un gros boulot et qui se remet l'épaule en l'air à la Seyne après des rentrées plus que convaincantes... A priori out tous les deux pour la fin de saison, ou presque... alors que l'on aurait eu bien besoin d'eux !... Putains d'épaules !
Ainsi le Stade Rugby Rodez Aveyron est malade ! Le dépôt de bilan menace, alertent les dirigeants par voie de presse. Alors dans un réflexe devenu hélas habituel en France on se tourne immédiatement vers la collectivité. L’Etat dans certains endroits, la mairie, le conseil général, la Région dans d’autres. S’opère alors une manipulation de transfert de responsabilité, du club vers la collectivité : «Si vous ne faites rien on va crever». Sous-entendu : «ce sera de votre faute». Et de faire valoir le travail des bénévoles pour le club de la ville, le rôle éducatif, le vecteur de communication, etc. A Rodez, c’est ainsi que cela se passe. Les collectivités locales jusqu’à maintenant ont résisté et refusé la demande. Heureusement. Les nouveaux dirigeants de ce club font valoir qu’ils reprennent un passif laissé par l’ancien président. Mais enfin, il n’y avait pas que le président pour diriger. Tout le monde savait qu’une vingtaine de joueurs avaient un statut professionnel. Une folie à ce niveau de compétition dans un environnement économique en crise. Ces mêmes dirigeants font maintenant un virage à 180°. Ils annoncent qu’ils vont miser sur la formation des jeunes. Ils suggèrent que Rodez devienne le club de formation de tout l’Aveyron. En décodant on peut annoncer le but du projet : les meilleurs joueurs resteraient à Rodez et les moins bons seraient pour les autres clubs du département. Le président de Decazeville a approuvé cette orientation espérant quelques bonnes miettes. Souhaitons que les Millavois n’emboîtent pas le pas. Qui peut faire confiance à ce club qui tout d’un coup se trouve une vocation de formateur ? Ce n’est pas dans sa culture, dans ses gènes. La réalité, c’est qu’ils cherchent à présenter un scénario acceptable par les collectivités locales, qui, elles se soucient de l’opinion publique. La carte «jeunes du cru», voilà la corde sensible dont ils jouent. Si la ville de Rodez veut suivre c’est son problème. Mais le Département ou la Région, non ! Il s’agit d’argent public. Ce n’est pas aux contribuables Aveyronnais de financer le club et les ambitions des dirigeants Ruthénois. Il serait temps que l’on arrête cette mascarade. La responsabilité des collectivités locales c’est de créer les conditions pour que les jeunes puissent faire du sport. Ceci par l’aménagement d’installations et, si les moyens le permettent, par une aide financière pour que le prix de la licence ne soit pas dissuasif et reste accessible au plus grand nombre. Après, tout le reste relève de la responsabilité des clubs. R.G
Ainsi le Stade Rugby Rodez Aveyron est malade ! Le dépôt de bilan menace, alertent les dirigeants par voie de presse. Alors dans un réflexe devenu hélas habituel en France on se tourne immédiatement vers la collectivité. L’Etat dans certains endroits, la mairie, le conseil général, la Région dans d’autres. S’opère alors une manipulation de transfert de responsabilité, du club vers la collectivité : «Si vous ne faites rien on va crever». Sous-entendu : «ce sera de votre faute». Et de faire valoir le travail des bénévoles pour le club de la ville, le rôle éducatif, le vecteur de communication, etc. A Rodez, c’est ainsi que cela se passe. Les collectivités locales jusqu’à maintenant ont résisté et refusé la demande. Heureusement. Les nouveaux dirigeants de ce club font valoir qu’ils reprennent un passif laissé par l’ancien président. Mais enfin, il n’y avait pas que le président pour diriger. Tout le monde savait qu’une vingtaine de joueurs avaient un statut professionnel. Une folie à ce niveau de compétition dans un environnement économique en crise. Ces mêmes dirigeants font maintenant un virage à 180°. Ils annoncent qu’ils vont miser sur la formation des jeunes. Ils suggèrent que Rodez devienne le club de formation de tout l’Aveyron. En décodant on peut annoncer le but du projet : les meilleurs joueurs resteraient à Rodez et les moins bons seraient pour les autres clubs du département. Le président de Decazeville a approuvé cette orientation espérant quelques bonnes miettes. Souhaitons que les Millavois n’emboîtent pas le pas. Qui peut faire confiance à ce club qui tout d’un coup se trouve une vocation de formateur ? Ce n’est pas dans sa culture, dans ses gènes. La réalité, c’est qu’ils cherchent à présenter un scénario acceptable par les collectivités locales, qui, elles se soucient de l’opinion publique. La carte «jeunes du cru», voilà la corde sensible dont ils jouent. Si la ville de Rodez veut suivre c’est son problème. Mais le Département ou la Région, non ! Il s’agit d’argent public. Ce n’est pas aux contribuables Aveyronnais de financer le club et les ambitions des dirigeants Ruthénois. Il serait temps que l’on arrête cette mascarade. La responsabilité des collectivités locales c’est de créer les conditions pour que les jeunes puissent faire du sport. Ceci par l’aménagement d’installations et, si les moyens le permettent, par une aide financière pour que le prix de la licence ne soit pas dissuasif et reste accessible au plus grand nombre. Après, tout le reste relève de la responsabilité des clubs. R.G
Trénels a écrit :Ainsi le Stade Rugby Rodez Aveyron est malade ! Le dépôt de bilan menace, alertent les dirigeants par voie de presse. Alors dans un réflexe devenu hélas habituel en France on se tourne immédiatement vers la collectivité. L’Etat dans certains endroits, la mairie, le conseil général, la Région dans d’autres. S’opère alors une manipulation de transfert de responsabilité, du club vers la collectivité : «Si vous ne faites rien on va crever». Sous-entendu : «ce sera de votre faute». Et de faire valoir le travail des bénévoles pour le club de la ville, le rôle éducatif, le vecteur de communication, etc. A Rodez, c’est ainsi que cela se passe. Les collectivités locales jusqu’à maintenant ont résisté et refusé la demande. Heureusement. Les nouveaux dirigeants de ce club font valoir qu’ils reprennent un passif laissé par l’ancien président. Mais enfin, il n’y avait pas que le président pour diriger. Tout le monde savait qu’une vingtaine de joueurs avaient un statut professionnel. Une folie à ce niveau de compétition dans un environnement économique en crise. Ces mêmes dirigeants font maintenant un virage à 180°. Ils annoncent qu’ils vont miser sur la formation des jeunes. Ils suggèrent que Rodez devienne le club de formation de tout l’Aveyron. En décodant on peut annoncer le but du projet : les meilleurs joueurs resteraient à Rodez et les moins bons seraient pour les autres clubs du département. Le président de Decazeville a approuvé cette orientation espérant quelques bonnes miettes. Souhaitons que les Millavois n’emboîtent pas le pas. Qui peut faire confiance à ce club qui tout d’un coup se trouve une vocation de formateur ? Ce n’est pas dans sa culture, dans ses gènes. La réalité, c’est qu’ils cherchent à présenter un scénario acceptable par les collectivités locales, qui, elles se soucient de l’opinion publique. La carte «jeunes du cru», voilà la corde sensible dont ils jouent. Si la ville de Rodez veut suivre c’est son problème. Mais le Département ou la Région, non ! Il s’agit d’argent public. Ce n’est pas aux contribuables Aveyronnais de financer le club et les ambitions des dirigeants Ruthénois. Il serait temps que l’on arrête cette mascarade. La responsabilité des collectivités locales c’est de créer les conditions pour que les jeunes puissent faire du sport. Ceci par l’aménagement d’installations et, si les moyens le permettent, par une aide financière pour que le prix de la licence ne soit pas dissuasif et reste accessible au plus grand nombre. Après, tout le reste relève de la responsabilité des clubs. R.G
Cher trenels(qui veut dire tripe!!!!) Ta maxime de fin reflete tout a fait ton etat d'esprit et celui de tes compatriotes Millavois je cite :mefie-toi des gens de Millau.....
Trénels a écrit :Ainsi le Stade Rugby Rodez Aveyron est malade ! Le dépôt de bilan menace, alertent les dirigeants par voie de presse. Alors dans un réflexe devenu hélas habituel en France on se tourne immédiatement vers la collectivité. L’Etat dans certains endroits, la mairie, le conseil général, la Région dans d’autres. S’opère alors une manipulation de transfert de responsabilité, du club vers la collectivité : «Si vous ne faites rien on va crever». Sous-entendu : «ce sera de votre faute». Et de faire valoir le travail des bénévoles pour le club de la ville, le rôle éducatif, le vecteur de communication, etc. A Rodez, c’est ainsi que cela se passe. Les collectivités locales jusqu’à maintenant ont résisté et refusé la demande. Heureusement. Les nouveaux dirigeants de ce club font valoir qu’ils reprennent un passif laissé par l’ancien président. Mais enfin, il n’y avait pas que le président pour diriger. Tout le monde savait qu’une vingtaine de joueurs avaient un statut professionnel. Une folie à ce niveau de compétition dans un environnement économique en crise. Ces mêmes dirigeants font maintenant un virage à 180°. Ils annoncent qu’ils vont miser sur la formation des jeunes. Ils suggèrent que Rodez devienne le club de formation de tout l’Aveyron. En décodant on peut annoncer le but du projet : les meilleurs joueurs resteraient à Rodez et les moins bons seraient pour les autres clubs du département. Le président de Decazeville a approuvé cette orientation espérant quelques bonnes miettes. Souhaitons que les Millavois n’emboîtent pas le pas. Qui peut faire confiance à ce club qui tout d’un coup se trouve une vocation de formateur ? Ce n’est pas dans sa culture, dans ses gènes. La réalité, c’est qu’ils cherchent à présenter un scénario acceptable par les collectivités locales, qui, elles se soucient de l’opinion publique. La carte «jeunes du cru», voilà la corde sensible dont ils jouent. Si la ville de Rodez veut suivre c’est son problème. Mais le Département ou la Région, non ! Il s’agit d’argent public. Ce n’est pas aux contribuables Aveyronnais de financer le club et les ambitions des dirigeants Ruthénois. Il serait temps que l’on arrête cette mascarade. La responsabilité des collectivités locales c’est de créer les conditions pour que les jeunes puissent faire du sport. Ceci par l’aménagement d’installations et, si les moyens le permettent, par une aide financière pour que le prix de la licence ne soit pas dissuasif et reste accessible au plus grand nombre. Après, tout le reste relève de la responsabilité des clubs. R.G
Cher trenels(qui veut dire tripe!!!!) Ta maxime de fin reflete tout a fait ton etat d'esprit et celui de tes compatriotes Millavois je cite :mefie-toi des gens de Millau.....