A noter pour la réserve; 4 reichel: P-H.Guyot, Q.Prunie, T.Roussillon et R.Derch + 1 juniors Ballandrade K.Dacosta Sans noté Crochet qui a joué et un retour de blessure (Nicoletti) et Puignau qui a repris d'entré, environ 60min de jeu. Pas mal de jeunes avec des anciens un bon mélange mais les résultats sont pas là dommage... A enregistré que le MR à fini par une charnière 100% Roussillon, Tristan a la mellee et Henry en ouvreur.

Absolument! Cela étant, j'étais à coté d'un des présidents , qui m'a fait remarquer qu'un bon botteur c'est 3000€/mois et que ce n'est pas facile à trouver. Cela ne doit pas être tout à fait faux!

Dernière modification par edrost (07/03/2010 19:38:44)

edrost a écrit :

Absolument! Cela étant, j'étais à coté d'un des présidents , qui m'a fait remarquer qu'un bon botteur c'est 3000€/mois et que ce n'est pas facile à trouver. Cela ne doit pas être tout à fait faux!

Sans doute, et c'est surement pas un maximum. Je ne veux pas faire de mauvais esprit, ni dire que c'est évident, mais dans le rôle des priorités, c'est impératif. Bien que je n'aie aucune preuve, je me doute cependant que certains sont payés au moins 3.000€ au MR. Ceci dit sans aucune animosité pou le (ou les) bénéficiaires. A l'heure actuelle chacun fait bien son métier et c'est tant mieux. Il s'agit seulement de faire les bons choix avec le budget que nous possédons.

source site cap le CAP gagne son deuxième match de suite à l'extérieur en Jean Prat Le CAP a une nouvelle fois défié les éléments : après la tempête du golfe du Morbihan à Vannes la semaine dernière, c'est sous une température négative (-3) et d'importantes chutes de neige que s'est joué ce deuxième match à l'extérieur au nord du Massif Central. Montluçon attaque le match très fort en pressant les Périgourdins dans leurs 22. L'essai est proche, mais les visiteurs s'accrochent, défendent méthodiquement, et repoussent leurs adversaires. Le ton est donné, Montluçon va dominer le match, mais Périgueux solidaire et excellent en défense ne laissera rien passer. Une pénalité obtenue par les Périgourdins à la 6ème minute suite à leur première occupation du camp adverse et à un hors jeu des lignes arrières, permet à Sylvain André d'ouvrir le score: 0 - 3. C'est alors un véritable déluge... de neige. La qualité du spectacle baisse pour les spectateurs venus (se geler) en nombre. La mélée Périgourdine souffre face à la puissance du pack des Bourbonnais. Elle est sanctionnée par l'arbitre à plusieurs reprises. Le pied frigorifié du buteur adverse rate la cible à chaque fois. Les supporters Capistes encouragent les leurs et se prennent à rêver à ce score minimaliste atteint à la mi-temps de 0 à 3 qui a permis au CAP de l'emporter la semaine dernière. Dès la reprise le CAP occupe le camp adverse et sur une bonne fixation du paquet d'avant, Sylvain André claque un joli drop au 40 mètres à la 46ème: 0 - 6. Sur une faute des Périgourdins dans leur camp, pour un en avant avec reprise hors jeu, les Montluçonnais répliquent par le pied réchauffé (pendant la mi-temps) de leur buteur à la 49ème: 3 - 6. Malheureusement pour eux, il rate encore le centre des perches et ne concrétise pas la domination des siens suite à plusieurs fautes des Capistes dont une mélée encore sanctionnée. Le froid et la neige perturbent les Périgourdins pour les relances des lignes arrières et le 3/4centre de Montluçon Raphaël Chanal fort de son expérience encadre bien les siens, soutenu par son excellent numéro 15. Le coach Périgourdin fait rentrer su sang neuf. Willy Bower sort sur blessure. David Dadunashvili rentré en première ligne démontre sa mobilité et sa percussion, tout comme Benjamin Pérais qui doit avoir des 'fourmis dans les bras' depuis sa blessure de l'an dernier qui plaque et découpe du Bourbonnais. La défense des Périgourdins reste toujours aussi intraitable et l'ailier Samuel Galetti s'interpose plusieurs fois avec autorité en bout de ligne. A quelques minutes du coup de sifflet final, on ne voit pas comment Montluçon peut franchir les lignes adverses. Seule une pénalité pourrait récompenser leur mélée dominatrice. Mais le pied congelé du buteur... Un rayon de soleil apparait pour les 5 dernières minutes du match, chassant la neige, réchauffant les coeurs et les visages des Périgourdins. C'est gagné. La mission est bien accomplie. Deux premiers matchs à l'extérieur en Jean Prat, deux victoires. Tout n'est pas parfait, mais la victoire est rassurante. Le groupe monte en puissance. L'esprit d'équipe est bien là, la solidarité en défense le démontre, les sourires sur les visages des Capistes à la sortie du terrain aussi. Le prochain match contre Marmande Casteljaloux le 28 mars à Périgueux, doit être abordé sérieusement comme un gros derby afin de confirmer ces deux résultats à l'extérieur. Un adversaire coriace et vexé par la défaite chez lui face à Vannes aujourd'hui qui voudra sans nul doute se rattraper à Périgueux. Avec maintenant 3 matchs de suite à domicile, le CAP espère pouvoir compter sur le soutien de son public pour engranger le maximum de victoires au Stade Francis Rongiéras. Mobilisons nous pour le prochain match, le derby du Périgord Agenais : CAP - Marmande !

Le match d'hier laisse bcp de regrets car y'avait largement la place, c'est bien dommage

article de la Dordogne Libre... Rugby. trophée jean-prat : montluçon 3 - périgueux 6 Sport et score d'hiver J ulien COUTENCEAU j.coutenceau@dordogne.com Le CAP envisagerait-il de se mettre au football ? C'est la question que l'on pourrait se poser tant ils bétonnent leur défense. Car après son score de « Lilliputien » à Vannes (3-0), il a signé une nouvelle victoire minimaliste à Montluçon (6-3). Petit score donc? Mais énorme opération comptable ! Grâce à ce second succès à l'extérieur, les Périgourdins ont pris une sérieuse option sur la qualification et une petite sur les quatre billets directs pour les quarts de finale. Une vraie performance quand on se souvient avec quelle difficulté ils étaient sortis du Jean-Prat l'an passé et lorsqu'on voit Vannes passer à la moulinette Marmande chez lui. Une vraie performance aussi car le CAP a su se sortir du bourbier vannetais (au propre comme au figuré) et a fait fi des caprices du ciel (froid et neige), hier, dans l'Allier. Le CAP meilleur face au vent Les Capistes semblaient pourtant gelés à leur entrée sur une pelouse blanchie par une neige aussi subite que malvenue. C'était les Auvergnats qui avaient les crampons les plus réchauffés et les plus actifs d'entrée de jeu. Pendant dix minutes, ils verdissaient les 22 m périgourdins, les obligeant à défendre bec et ongle leur ligne d'en-but. Malgré plusieurs belles offensives, les locaux n'avaient pas de suite dans les idées : Gaetan relâchait le ballon et Oosthuizen ratait la première d'une longue série de pénalité. Du coup, après avoir laissé passer l'orage sans avoir pris la grêle, le CAP allait à son tour placer quelques flocons dans le camp adverse. Pas de quoi glacer les Auvergnats mais de quoi les doucher vu qu'ils étaient relégués dans leur camp malgré l'appui d'un vent glacial et tourbillonnant pendant 25 minutes. Le CAP posait son empreinte sur le match. Appliquant à la lettre les consignes sur les portées adverses qu'ils poussaient à la faute sans même les attaquer, dominateurs dans les zones de rucks et sur les touches, les Capistes commençaient à se mettre en ordre de marche. Mais il manquait un petit quelque chose... André interceptait la balle sur ses 22 m et partait en contre-attaque mais il avait le double tort de se retourner et de ne pas taper vers l'aile pour la conclusion (22e). Idem pour le huit de devant qui faisait reculer son rival sur 15 mètres avant de caler devant la ligne d'en-but (30e). La faillite du buteur adverse Heureusement, André réussissait à convertir une pénalité (34e) avant la pause, ce qui ne semblait pas le fort de son homologue Oosthuizen, plus à l'aise dans le jeu que sur ses tirs (18e). Ce qui allait se confirmer en deuxième période puisque le Sud-Africain plaçait deux autres tentatives dans le domaine du réalisable à gauche des perches (à 22 m à la 54e et à 38 m à la 58e). Une manie qu'il ne pouvait se permettre à 15 m face au but à la 48e après qu'André ait passé l'une de ses deux jolies tentatives de drop (43e). En tout, Montluçon laissait en route 15 points au pied vu que son deuxième buteur, Torres, n'était pas plus en verve (70e). Trop, beaucoup trop face à un CAP qui avait décidé de hisser les barbelés en défense. A l'image de Galetti revenu à toute vitesse sur Ioannides suite à une action vite lancée par Chanal (65e), les Capistes ne lâchaient pas le morceau face à une formation joueuse mais qui manquait de justesse, à l'image de ce drop de Perrin (66e). Du coup, le CAP aurait même pu enfoncer le clou sur une contre-attaque de Zibzibadze qui avait la malencontreuse idée de taper à suivre alors qu'un boulevard s'offrait devant lui. Il aurait aussi pu éviter de se faire peur sur la fin en perdant trois ballons en touches et en mêlées. Mais il assurait l'essentiel : les quatre points de la victoire. C'était bien là l'essentiel.