Bonjour à tous,

Belle compo pour ce soir...... une compo pour la gagne.....ALLEZ l' USON UUUUUUUUUUUUUUUUSONNNNNNNNN

Oui rien n'est fait et restons humble, mais sans être rancunier...nous avons une petite revanche à prendre (J1 du 23/08/19) 18-24) et puis

nous devons rester dans le top 6. PAS DE PITIE

Gadget5863 a écrit :

BrUSON58 a écrit :

Oui rien n'est fait et restons humble, mais sans être rancunier...nous avons une petite revanche à prendre (J1 du 23/08/19) 18-24) et puis

nous devons rester dans le top 6. PAS DE PITIE

Tout à fait d'accord avec toi Gadget mais le dernier se battra jusqu'au bout et parfois l'énergie du désespoir permet de soulever des montagnes...

Que le match soit beau et tant qu'à faire, que nos Jaunes ramènent la Victoire !!

Bon match à tous, ce soir, c'est apéro, bruschetta et télétexte JDC !!! ;-)

Oui pas de pitié.

Rester humble OK mais quandtu va chez le dernier avec les ambitions affichées par le club, le staff, les joueurs et bien tu es obligé d'avoir des "envies" de victoire, sinon, cela ne sert a rien de monter une équipe.

Je me répete tu vas chez le dernier, c'est pour la gagne parceque sinon, il ne faut surtout pas jouer les USAP, RCV, BO, etc etc etc....

2 patrack 1 a écrit :

Je me permets un mot sur Raisuque,

Alors là, 5 semaines (Lu dans le MIDOL ) pour un geste qui n' a rien de violent ? Chapeau

Certes, il fallait rappeler  la règle :  "on ne touche pas l' arbitre " par une mise à l' épreuve sur le comportement ou d' ordre d'intervention auprès des écoles de rugby ou dans quelque chose de pédagogique, mais pas de suspension.

C est ahurissant et ne sert à rien. Le pouvoir par l' écrasement, c' est la mode actuellement. Un peu de discernement  ne ferait pas de mal

C est un point de vue respectable. Mais il faut aussi reconnaître que c'est très compliqué de trouver une sanction "juste" pour les 2 parties.

Il y a un règlement, une échelle de sanction. Elle est respectée. Un peu trop certes mais respectée. Ne pas la respecter aurait eu un effet plus néfaste pour notre sport.

Tu touches pas l arbitre. Point. Tu le touches intentionnellement tu prends 5 semaines. Terminé.

Raisuqe n'a pas été fouetté non plus...

Maintenant une sanction moins lourde et une obligation de stage chez les arbitres avec les caméras et tout le cirque ça aurait été bénéfique pour tout le monde selon moi. M enfin bon, la règle est la règle.

Sinon kazu s est blessé légèrement à l entraînement. Ce qui explique son absence. (source Midol d aujourd'hui)

J' entends ce que vous dites Velours, la règle est la règle, mais bon !

Belle saison à l' USON ,visez  les phases finales

Un Bourguignon

 Pro D2 – 17e journée
Soyaux-Angoulême - Nevers, 13-16

A la photo finish !

ANGOULÊME – Vendredi 22 janvier, 19 h – Stade Chanzy. Nevers bat Soyaux-Angoulême, 16-13 (3-10). Points-terrain : 4-1. Évolution du score : 0-5 ; 0-7 ; 0-10 ; 3-10 ; 8-10 ; 10-10 ; 10-13 ; 13-13 ; 16-13. Arbitre : Hervé Lasausa Lespy Labaylette (Nouvelle-Aquitaine). Juges de touche 1, François Bouzac ; de touche 2, Christophe Bats. Arbitre vidéo : Patrick Péchambert. Arbitre 4, Aurélie Groizeleau. Arbitre 5 :Yann Rotily. Temps frais et, en fin de rencontre, pluvieux, pelouse en bon état, éclairage parfait, huis clos.

Pour Soyaux-Angoulême : 1 essai Raivono (11e’) ; 1 transformation et 2 pénalités (32e’, 57e’) Ugalde. Carton jaune : Witt (16e’).
Pour Nevers : 1 essai Le Gal (48e’) ; 1 transformation et 3 pénalités (35e’, 61e’, 65e’) Cazenave.

Soyaux-Angoulême : 15. Lafitte ; 14. Lestremeau, 13. Even, 12. Talebula (21. Pehau, 72e’), 11. Raivono (22. Etcheverry, 61e’) ; 10. Ugalde, 9. Rubio (20. Ayestaran, m.t.) ; 7. Witt (cap.), 8. Copeland (19. Belzons, 61e’), 6. Nabou ; 5. Boutaty (18. Gibouin, 49e’), 4. Vaai ; 3. Halavatau (23. Forwood, 61e’), 2. Kessler, 1. Goginava (17. El Jai, 72e). Non utilisé : 16. Bruté de Remur. Manager Vincent Etcheto, entraîneur des avants Tanguy Kerdrain, entraîneur des arrières Mirco Bergamasco.
Nevers : 15. Jaminet ; 14. Le Gal, 13. Loaloa, 12. Bolakoro (22. Derrieux, 50e’-80e’), 11. Camou ; 10. Vuillemin (21. Ménoret, 50e’), 9. Cazenave (20. Guillaume Manevy, 80e’) ; 7. Cotte, 8. Fraser, 6. Plataret (19. Bastide, 65e’) ; 5. Fabrègue (cap.) (18. Du Preez, 69e’), 4. Bradshaw (5. Fabrègue, 74e’) ; 3. Roelofse (23. Papidze, 55e’), 2. Tarrit (16. Hamel, 55e’), 1. Kitutu (17. Curie, 55e’). Manager Xavier Péméja ; entraîneur des avants Sébastien Fouassier, entraîneur des arrières Guillaume Jan.

Au bout d’un suspense insoutenable, Nevers a glané un précieux succès sur l’herbe de Soyaux-Angoulême. La lanterne rouge avait pris les devants mais les Usonistes ont renversé la vapeur et conservé trois points d’avance au prix d’une défense acharnée.

Angoulême chanceux
Dos au mur, les Charentais avaient fomenté le coup parfait. Refusant les mauls après touche, spécialité nivernaise aussi célèbre désormais que le saupiquet ou le griffon, Quentin Witt et ses hommes perturbèrent longtemps les lancements de jeu azur et or.
Encouragés par un essai casquette, Kaminieli Raivono récupérant un ballon tapé par Matthieu Ugalde et renvoyé par le poteau droit pour marquer au nez et à la barbe des Bourguignons, les locaux redoublèrent d’effort pour ne pas subir, malgré une infériorité numérique de dix minutes.

Pointillisme
Cette première période, salmigondis de rugby, aurait pourtant dû se terminer dans l’euphorie d’un voyage à dame pour les Nivernais. Une pénalité vite bottée par Joris Cazenave vers l’aile gauche de Romaric Camou offrit à ce dernier le bonheur d’un essai de filou. Hélas, un recours à la vidéo annula cette combinaison, Cazenave ayant tapé un mètre après le point de pénalité. Ce que font tous les botteurs, sur tous les terrains de France et de Navarre !

Le Gal de triage
Seul un but de l’artificier nivernais avait donc répondu aux dix unités charentaises, au moment de regagner les vestiaires. D’où les Jaunets ressortir avec la ferme intention de combler leur retard. En moins de dix minutes, ce fut chose faite grâce à l’essai d’un Loïc Le Gal opportuniste, transformé en coin par le précis Cazenave.

Tanguy, Rudy...
Si Ugalde redonna un peu d’ardeur à la flamme charentaise, Cazenave, en convertissant deux nouvelles pénalités, plaça les siens en tête. Sur ces actions qui amenèrent aux fautes locales, l’apport de Tanguy Ménoret et de Rudy Derrieux, fraîchement entrés, se révéla prépondérant...

A Loaloa le dernier geste
Il restait cependant un quart d’heure à disputer. Un quart d’heure à lutter contre des Angoumoisins qui, à deux reprises, délaissèrent une éventuelle réussite face aux perches pour tenter de finir dans l’en-but neversois. Mais les Violets laissèrent la proie pour l’ombre et se heurtèrent au mur défensif bourguignon.
Comme pour souligner l’âpreté de la tâche, il fallut un dernier ballon arraché par l’excellent Alivereti Loaloa à Iban Etcheverry pour que les Jaunets puissent enfin lever les bras. De quoi prendre la traditionnelle photo des vainqueurs, euphoriques une fois réunis dans leur vestiaire.

Ovalien Dupré (à partir des images de Rugby+)